La traversée de Philippe Labro
TD : La traversée de Philippe Labro. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Freyja_Ora • 21 Août 2019 • TD • 859 Mots (4 Pages) • 1 369 Vues
I – Fiche de lecture
1.1. Thème
Le thème abordé dans cet ouvrage est l’expérience vécu de mort approchée.
1.2. Références bibliographiques
L'ouvrage se nomme La traversée. Il a été rédigé par Philippe LABRO. Ce livre a été publié en 1996 par le biais des Éditions Gallimard.
1.3. Bibliographie de l'auteur
Philippe LABRO est journaliste, écrivain et réalisateur. Il publie de nombreux écrits chez les Éditions Gallimard :
Un Américain peu tranquille en 1960
Des feux mal éteints en 1967
Des bateaux dans la nuit en 1982
L'étudiant étranger en 1986 qui a été récompensé par le prix Interallié
Un été dans l'Ouest en 1988 qui a été récompensé par le prix Gutenberg des lecteurs
Le petit garçon en 1991
Quinze ans en 1993
Un début à Paris en 1994
La traversée en 1996
Rendez-vous au Colorado en 1997
Manuella en 1999
Je connais gens de toutes sortes en 2002
Tomber sept fois, se relever huit en 2003
Franz et Clara en 2006
Les Gens en 2009
7 500 signes en 2010
On a tiré sur le Président en 2013
Le Flûtiste invisible en 2013
Ma mère, cette inconnue en 2017
Ce n'est qu'un début en 2018
1.4. Résumé
Ce livre est basé sur l'expérience de l'auteur face à l’expérience de mort approchée. La narration commence par son vécu dans le service de réanimation.
Suite à une maladie (inconnue), un oedeme s'est formé dans sa gorge. Celui-ci a obstrué les voies respiratoires de l'auteur qui lui a provoqué un arrête respiratoire. De ce fait, il a été hospitalisé en service de réanimation où il a été intubé.
L'auteur, à travers son roman, nous raconte son ressentit, son vécu. Il nous parle :
du « charabia » des médecins,
des infirmières qui lui permet de rythmer ces journées, qui le rassure et qui arrive à communiquer avec lui
il nous parle de sa femme
de la notion du temps qui est biaisé
de la guerre intérieure qui se mène entre sa voie intérieure qui lui dit de se battre et son autre « Moi » qui lui dit que tout est joué et qu'il faut se laisser partir
des visions « des morts de sa vie » qui l'incite à les rejoindre
de Monsieur Picolino, son voisin de chambre dont il n'entend que le bruit de la machine qui sonne. Mais aussi du jour ou il ne l'entend plus et où il comprend que ce voisin s'en est allé.
L'évolution positive de sa maladie à travers son changement de service et de chambre
sa
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