Discours Macron : stratégie contre l’islamiste radical
Cours : Discours Macron : stratégie contre l’islamiste radical. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gulistan • 22 Juin 2022 • Cours • 310 Mots (2 Pages) • 250 Vues
LUTTE CONTRE L’ISLAMISTE RADICAL
Le chef de l’État Emmanuel Macron, à un discours durci et un débat hystérisé sur sa
stratégie contre l’islamiste radical, ce qui l’appelle « séparatismes», qu’il compte dévoiler ce vendredi. Mais beaucoup de responsables politiques vont s’employer à hystériser le débat en tweetant.
Gérald Darmanin et ses binômes, à ouvert les débats à l’Assemblée nationale sur le projet de loi, réclamé avec insistance par l’extrême droite et la droite qui, « confortant le respect des principes républicains ». Le président souvent critiqué par la droite sur le sujet, veut se montrer offensif contre le communautarisme. Mais le Président insiste, pour sanctuariser la laïcité, qui a été interrompue par le Premier Ministre sans une zone de « reconquête républicaine ».
Les proches du Président ont reconnue que son discours à évolué. En début de son mandat, il s’était attaché à défendre la position de combattre Daech et son « projet totalitaire » et disait que la laïcité n’est pas faite pour mener une bataille contre telle ou telle religion et qu’aucune des religion n’est un problème. Mais pourtant, le 4 septembre au Panthéon le Président à affirmer « au nom d’un dieu, entendent imposer la loi d’un groupe» et que « la République est indivisible, n’admet aucune aventure séparatiste ».
Après la mort tragique du colonel Beltrame en 2018 lors de l’attentat de Trèbes, il y’ a beaucoup eut de traumatisme de l’attaque terroriste. Le Président avait fait un discours en disant, qu’il faillait être vigilant pour éradiquer «l’hydre islamiste» et qu’il fallait les traquer partout. Ce discours était saluer par les élus.
Le président à voulu faire un discours pour son combat contre le « séparatisme islamiste», mais il y’ a eu l’une des plus graves crises sanitaires en France. Donc sa été reportées, les annonces présidentielles devaient tomber vendredi prochain, mais ce n’est pas parti pour.
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