Devoir Economie-Droit BTS MUC 1ère Année Cned: L’industrie et le marché automobiles français en 2009 et 2010
Mémoire : Devoir Economie-Droit BTS MUC 1ère Année Cned: L’industrie et le marché automobiles français en 2009 et 2010. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar i.bouallaga • 26 Juin 2013 • 1 969 Mots (8 Pages) • 3 248 Vues
Devoir 1 économie générale-droit
1ère partie: Économie générale
1- Les constructeurs automobiles ont réduit leur capacité de production en 2008/2009, car tout d'abord, ils ont du anticiper les effets sur le long terme de la crise et du choc historique de 2008 sur la demande des ménages ; afin d'éviter les pertes et pour garder une certaines rentabilité, les constructeurs ont diminué leur productivité en réajustant leur offre à la demande des ménages, réajuster aussi selon le contraste entre les zones en plein essor et croissance géographique ainsi que les zones traditionnelles de construction, mais aussi pour permettre de prévoir des plans d’attaque pour contrer la crise et créer un nouveau dynamisme et une nouvelle politique en s’appuyant sur les conséquences de la crise et ces changements économiques géographiques.
2- la demande de véhicules industriels en France en 2009 ainsi qu'au 1er semestre 2010 évolue de manière très négative, en effet cela s'explique par, premièrement, des chiffres très décevants ; pour 2009 quand on observe une hausse de 10% des ventes pour les voitures particulières, les véhicules industriels eux font une chute de -38%, Pour le 1er semestre 2010 ; les ventes des particuliers elles tiennent le choc (+5% des ventes ) mais les véhicules industriels eux continuent de régresser avec une baisse de -24%.
Les éléments susceptibles d'expliquer cette évolution sont que le principal marché visé par la vente de ces véhicules n'est autre que les industriels et les entreprises qui sont eux mêmes touchés par la crise et doivent eux aussi revoir leur production, leur dépense etc...
De plus les charges sociales, la dérive des coûts salariaux ainsi qu'une fiscalité rude sont des freins à leurs ventes contrairement aux particuliers (+10%),
3- Cette phrase signifie que le problème dans le secteur automobile français est une mauvaise conjoncture. En effet, la France produit et fournit en masse mais est aussi victime de taxes et charges très élevés pour être compétitive sur l’échelle européenne voir mondiale. L’état doit donc prendre des mesures pour favoriser le développement de cette économie.
4- L'externalité négative liée à la commercialisation de véhicules automobiles qui justifie l'intervention de l'état concerne l'émission de Co2 très élevée, En effet, l'émission moyenne de Co2 en 2007 est de 149g contre 133g en 2010; ce qui a causé la mise en place d'une politique beaucoup plus écologique telle que la mise en place de bonus écologiques favorisant l'achat de véhicules écologiques. De plus la France a les taxes sur les carburants les plus rigides de l'Europe.
5- le secteur automobile français est un secteur très ouvert au monde, à son économie et son changement. Oui, car ce secteur à su réagir face à la crise qui l'a frappé de plein fouet; il a su rebondir pour prévoir et amoindrir les dégâts en organisant un fort repli d'activité et ceux malgré de lourdes conséquences; il à réfléchis à une régularisation du chômage partiel ainsi qu'une forte mise en place de soutien a l'économie avec des avantages, des primes et des prêts directs afin de financer les nouveaux projets; et enfin, une meilleure gestion de l'information et de la communication ce qu favorise fortement le développement mondial.
Quand à son évolution, elle ne peut être que positive grâce à la recherche, en effet celle ci évolue et tend à évoluer dans le futur an s'alliant à l’écologie dont on ne eut plus « ignorer » l'importance, La recherche bien financée peut mettre à l'honneur le savoir-faire français tout en s'adaptant à la crise, à notre époque et aux besoins qui évoluent; le marché automobile français peut avoir un grand avenir devant lui si dans chaque pays il se développe selon les besoins économiques ( ex : les pays en fort développement qui ont une demande élevée ).
Mais cette recherche et ces avances ne peuvent garantir les beaux jours de l'automobile française si l'on ne résout pas plusieurs problèmes. Le premier est que la croissance française dépend du marché international; il faut donc impérativement réduire les charges sociales et la haute fiscalité pour établir une croissance positive. Sans nier la dégradation du taux de marge, tout cela mets donc un frein à la compétitivité et c'est tout le marché français qu est pénalisé par toutes ces contraintes.
6- La commercialisation des véhicules et des composants automobiles au niveau mondial repose sur le fondement du libre-échange qui théoriquement repose sur le simple fait que chaque pays ayant logiquement une ressource principale, peut ainsi se spécialiser dans celle ci afin d'échanger avec d'autres pays eux mêmes ayant leur « spécialisation », c'est le commerce dit Interbranche mais il y a aussi le type de commerce ou l'on échange de mêmes produits mais de pays différents, c'est le commerce Intrabranche. Ces deux théories présentent des avantages pour tous les pays car en effet et toujours théoriquement, si chaque pays dispose d'un avantage absolu dans sa production, à savoir un coût de production plus avantageux et une main d’œuvre « nationale » ; chaque pays y trouvera son avantage et sera gagnant dans ces échanges que ce soit pour son économie « territoriale » ou bien son économie internationale.
Il est plus avantageux de rechercher un produit « fini » dans son pays d'origine plutôt que d'acheter tous les composants que nous n'avons pas dans notre pays et de le fabriquer.
Dans le cas du marché automobile français il s’agit de préférer construire ce que le marché français sait faire de mieux et préférer acheter les composants nécessaires à la construction chez d'autres spécialistes (ex : les moteurs allemands ) Ainsi en se fournissant a l'étranger et en construisant en France ce dont elle a la spécialité: la qualité française si réputée à travers le monde. Et les pays qui exportent y verront aussi leurs avantages.
Deuxième partie: Droit
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