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Cas d'entreprise Warmi

Compte Rendu : Cas d'entreprise Warmi. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  4 Janvier 2015  •  1 292 Mots (6 Pages)  •  711 Vues

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1. La Finalité de l’entreprise était auparavant de tirer des profits, maintenant c’est de satisfaire le client. Comme le dit Drucker, le client est le pilier de l’entreprise, s’il n’y a pas de client, il n’y a pas d’entreprise. Mais il peut également avoir d’autres finalités comme des finalités sociétales, environnementales et sociales.

Pour l’entreprise Warmi, la finalité principale est de sauvegarder et développer la culture artisanale de la Colombie en créant des emplois pour les femmes n’ayant pas forcément fait des études.

Au niveau de la finalité sociétale, Sylvia Toth cherche à donner une valeur aux vêtements car ils sont fait mains, à intégrer des femmes plus jeunes qui pourront être formée au métier de tisserandes. Sonobjectif à court terme est de pouvoir faire vivre ses femmes intégralement de ce travail. Ainsi les collections sont entièrement tricotées main par ses femmes des villages de Tausa enColombie.

Pour la finalité environnementale on voit que la jeune créatrice cherche à conserver la culture artisanale de Colombie puisque toute sa collection est tissée à la main selon les techniques traditionnelles avec des matières bio. Ce qui donne aux vêtements une valeur avec une production soignée et équitable.

La finalité sociétale et environnementale de l’entreprise vient de ses origines Colombiennes qu’elle fait ressortir en conservant ses valeurs et sa culture.Ainsi que son expérience et sa formation dans la mode a permis d’intégrer tout cela pour une marque éthique.

2. L’Union des couveuses de France participe à la construction d’une entreprise et a choisi de rendre compte de leurs actions au travers de 4 engagements :

• Rechercher un objectif de croissance et d’efficacité économique compatible avec la RSE

• Répondre à un objectif d’équité sociale, réduire les inégalités, promouvoir l’égalité des droits et développer la solidarité.

• Contribuer à préserver, améliorer et valoriser l’environnement sur le long terme, trouver un juste équilibre entre l’économie et le développement durable.

• Rendre compte à l’ensemble des parties prenantes de notre action

Les couveuses mettent en place des coopérations avec les autres acteurs locaux qui développent la culture de l’initiative et accompagnent les porteurs de projet

Les ateliers de Paris est une structure d’accompagnement économique, ils sont à la fois un incubateur d’entreprise, un centre de conseil et d’accompagnement économique et une galerie d’exposition.

En effet pour Sylvia Toth, la couveuse a répondu à ses attentes en lui permettant de mettre en pratique son projet tout en l’accompagnant, au travers d’une formation de dirigeant d’entreprise. Ils sont donc utiles pour la créatrice car ils lui ont permis de mettre en place son projet et la former à son nouveau métier.

3. La responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est un concert dans lequel les entreprises intègrent les préoccupations sociales, environnementales et économique dans leurs activités avec les parties prenantes, c’est la contribution des entreprises pour le développement durable. La RSE a pour principe de polluer moins, être plus à l’écoute du consommateur, sécuriser les produits, améliorer les conditions de travail et les relations commerciales. Les enjeux pour la RSE est de développer de nouveaux marchés, offrir une crédibilité auprès des banques. Cependant les coûts restent élevés et certaines entreprises contournent les règles pour favoriser leurs intérêts.

Ici pour Warmi les dispositifs liés à la RSE sont :

• La production artisanale soignée et équitable par des artisanes en Colombie

• Une production en petite quantité

• Le renouvellement de la gamme

• La commercialisation dans 8 points de vente

• Utilisation de matières et techniques respectueuses de l’environnement

• Conserver le savoir-faire des tisserandes

• Développer une ligne avec la communauté à Belen de Umbria dans le nord de la Colombie à base de soie sauvage

4. Pour Sylvia Toth, la finalité est de sauvegarder et développer la culture artisanale de la Colombie. L’atteinte des objectifs et donc de la finalité que l’entreprise s’est donnée nécessite de prendre appui sur une production en quantité réduite. Alors que le marché de la mode impose des logiques de production rapides

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