ADM 2210 devoir 4
Cours : ADM 2210 devoir 4. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Emilie Labelle • 25 Novembre 2018 • Cours • 1 284 Mots (6 Pages) • 1 303 Vues
ADM 2210 Droit et Ethique de la santé et des serices sociaux[pic 1]
Devoir 4 [pic 2]
Feuille d’identité ( points)
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à votre envoi.
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NOM LABELLE PRÉNOM EMILIE
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NUMÉRO D´ÉTUDIANT 11390555 TRIMESTRE hiver 2013[pic 6]
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ADRESSE 215 Davidson Ouest
GATINEAU CODE POSTAL J8R2N2[pic 8]
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TÉLÉPHONE Domicile 819-439-7282 Travail
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Cellulaire 613-882-7282
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COURRIEL e.labelle@teluq.ca
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NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Marc Calfat
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DATE D’ENVOI 24 Février 2013
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Réservé à l’usage de la personne tutrice
DATE DE RÉCEPTION DATE DE RETOUR [pic 17]
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NOTE
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Devoir 4
- Selon le dictionnaire Le Robert la faute se définit comme suit : « le fait de manquer à ce qu’on doit». La notion juridique de faute est un manquement d’un individu à l’obligation de bien se comporter à l’égard d’autrui.
Maintenant il faut faire la distinction entre une erreur et une faute. La faute juridique est différente d’une simple erreur non fautive et qui ne génère aucune responsabilité. Les travailleurs de la santé ne doivent pas être tenus responsables d’une erreur de jugement qui pourrait être arrivé à n’importe qui ce qui les distingue d’une faute professionnelle.
Par exemple, un chirurgien qui pendant une opération complexe sectionne une artère, ne peut être tenu responsable des conséquences suivant cette erreur, puisqu’il a utilisé tous les moyens raisonnables et mis à sa disposition pour effectuer l’intervention du mieux qu’il le pouvait.
Les occasions d’erreurs médicales sont souvent présentes puisqu’il est difficile d’évaluer avec certitude les risques et les réactions de corps humain dans certaines interventions.
Par contre, au niveau de la faute professionnelle ou la faute juridique, il est facilement prouvable devant les tribunaux que le professionnel n’a pas agi pour le bien être de son client soit en bâclant les examens, soit en ne fournissant pas les éléments nécessaires pour aviser le patient de sa condition.
Par exemple, un médecin retire une masse du sein d’une femme. Après l’opération, il ne prend pas la peine de vérifier les rapports des pathologistes concernant cette masse qui s’avère cancéreuse. La patiente attend donc ses résultats sans trop s’inquiéter puisque le dicton favori des médecins est «pas de nouvelle, bonnes nouvelles!» Elle ne sait donc pas qu’elle souffre d’un cancer du sein, qui devrait être traité le plus rapidement possible. Sans la lecture de ce rapport par son médecin, il est impossible pour elle de savoir ce diagnostic, il est donc du devoir du médecin de faire un suivi auprès de ses dossiers pour prendre note des ces résultats et d’aviser la dame pour qu’elle puisse prendre un choix éclairé sur la continuité de soin qu’elle désire.
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