Le Maroc.
Analyse sectorielle : Le Maroc.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Youssef SAATACH • 23 Décembre 2016 • Analyse sectorielle • 344 Mots (2 Pages) • 598 Vues
Le Maroc n’a cessé d’étre fidèle aux liens historiques qu’il entrentient avec le continent africain. Il a toujours accordé une importance primordiale au développement de ses relations avec ses confrères africains à travers la consolidation de ses relations politiques et l’établissement de partenariats diversifiés et féconds.
Sous le régne de sa majesté le Roi Mohamed VI, ces relations se sont inscrites dans une vision de long terme qui s’appuie sur les vertus de la coopération Sud-Sud et sur l’impératif du développement humain, dans l’établissement de rapports économiques équitables justes et équilibrés.
Les différentes visites officielles effectuées par Sa majesté dans plusieurs pays africains, témoignent de l’engagement sincère du Royaume du Maroc en faveur du continent.
Progressivement, l’ancrage du Maroc en Afrique se concrétise par des investissements en force dans des secteurs stratégiques, tels que les télécoms, les banques, le transport, les engrais, les mines, l'immobilier, etc. où des groupes marocains réalisent jusqu'à un tiers du chiffre d'affaires avec des marges indéniables de progression. La clé de réussite du Maroc réside dans le fait de prôner une orientation résolument économique placée sous le signe du partenariat gagnant-gagnant avec ses amis des pays du Sud
La réalisation d’une intégration régionale plus poussée dans toutes ses multiples dimensions devrait contribuer à libérer le potentiel du continent et offrir l'espoir d'une vie meilleure à ses peuples.Elle devrait aider l’Afrique à se prendre en charge et compter sur ses propres potentialités, en développant les partenariats public-privé sud-sud et en facilitant les transferts de technologie dans un cadre mutuellement bénéfique
Cependant, l’efficacité des accords de coopération du Maroc avec ces pays demeure confrontée à plusieurs entraves liées princiapelement aux mesures non-tarifaires et la multiplicité des régimes fiscaux entre les pays.
Par ailleurs, la progression soutenue des échanges entre le Maroc et ses partenaires africains durant la période 2000-2012 laisse suggérer qu’un potentiel de développement du commerce existe bel et bien.
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