Finance ismalique

La finance participative

La finance participative ou dite « islamique » est devenue une partie integrante du système financier mondial et parmi ses composantes les plus dynamique au cours des derniers decenies.

A la suite de la crise mondiale, nombre de chercheurs ont prômu le rôle de la finance participative dans la stabilité du système financiers mondial est les solutions qu’elle peut apporter pour sauver le monde des crises economiques et le proteger contre les recessions repetitives.

• La finance participative afirme une resistance relative face à l a crise financiere mondiale.
• Transaction financière islamique doit etre accompagné d’une activité economique réelle et productive génératrice de richesse et revenu légaux.

Par consequent : Reduire le risque liée à l’endettement excessif + activité progresse en tendance avec la croissance de l’activité economique

• Les principes moraux se reposant sur la finance islamique  est non seulement une valeur en soi mais une influence sur l’efficience du système economique et social.

Les banques participatives dont l’activité et l’offre de produit doivent etre confore au precepte de la chariaa islamique ➔ un cadre legislatif pour une securite juridique.

Certes les produits alternatifs existe depuis 2007 dans nos banques conventionelles mais peu de gens le savaient suite au nombreux hésitations et manque de clareté et vision de la part des banques.

Aujourd’hui la BAM octroi des agreements pour l’ouverure de banques dedié uniquement au produit alternatifs.

Les principaux produits :

Mourabaha : Contrat de vente par lequel la banque vend un bien meuble ou immeubles de sa propriéte moyenant une marge.

Ijara : Contrat de location d’un bien en sa possession en contre partie d’un loyer fixe ou variable.

Moucharaka : permet à la banque de participer au capital d’une sociète pour financer un projet nouveau ou existant.

Moudaraba : une somme d’argent qui est mis à la disposition d’un client pour la réalisation d’un projet.

Salam + istinsaa :  

Objectif :

1. Favoriser l’essort de la finance islamique pour attirer les capitaux etrangers en provenance majoriterement des pays du Golf.
2. Répondre à une forte demande Marocaine : Alors que la population n’est bancairiser qu’à hauteur de 70% selon la BAM
3. Facteur de stabilisation en raison des notions de partage du risque et d’echange basé sur les actifs tangibles.

Institution

BAM : Otroie des agrements + supervidsion + contrôle au niveau de la gestion des risque

CSO : instance en charge de la confirmité des produits proposes

IFSB : bâle + etabli des normes et offre des conseils au organismes de reglement et de surveillance

Trois piliers de la finace participative

1. Adossé à une economie réel
2. Ethique
3. Basé sur le droit musulmant des affaires

Impact des banques participatives sur l’economie marocain et retombés socio-economiques de ce chantier à ciel ouvert :

1. Volume de liquidité que ce modèle economique injectera sur le marché marocain Total actif financiers 2 Trillions 2005 à 3 Trillions en 2020 (etudes)
2. Ciblage d’une nouvelle clientèle qui refuse de beneficier des banques conventionelles
3. Aidera le Maroc a devenir un hub financier mondial a travers CFC (Introduire la finance participatives en Afrique)
4. Elargisement du paysage bancaire marocain à la creation de formule de developpement qui conbinent facteurs travail/capital
5. Attirer les investissments pour donner un nouveau souffle à l’economie marocaine (epargne interieur nouveau fond)
6. Solidarité sociale à travers « moucharaka » 3p (Partage-Profit-Perte)

Probléme rencontrer

1. Ecosysteme incomplet pour cause des assurances « takaful » + « sukuk » mecanisme au marché monétaire, ne sont pas mise en œuvre
2. Un public largement non initié = clarete de l’information + accompagnement pédagogique

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