Authentifier les montres comme des billets de banque

Annexe 1

Identifier

Document n° 1

• Date du document : 15 avril 2014

Titre du document : Authentifier les montres comme des billets de banque

Source : http://www.letemps.ch/Page/Uuid/edaefe3c-c3f2-11e3-b435-a900aecea3d2/Authentifier_les_montres_comme_des_billets_de_banque

Nature du document : Article de presse

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• Mots clefs du document : Vrai/fausses montres, contrefaçon, identification, solutions, authentification, coûteux, nanaphotonique.

Titre du chapitre : Contrefaçon des montres

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Quarante millions de montres fausses produites chaque année contre trente millions de vraies montres suisses. Les horlogeries cherchent une solution afin d'identifier ou authentifier leurs marques mais cela est trop couteux ou compliqué à appliquer.

La seule solution authentifiée les montres comme des billets de banques.

Le Temps - 15 avril 2014

Le Temps

Economie & Finance/PME, mardi 15 avril 2014

Authentifier les montres comme des billets de banque

Pourquoi aucune solution d'authentification des garde-temps ne s'est-elle imposée? Nasser Hefyene veut y remédier et propose un système qui s'inspire, dans l'esprit, des billets de banque. Sa société, basée à Lausanne, propose un système qui permet de lire des inscriptions sur le verre des montres avec une « simple » lampe UV.

Marie-Laure Chapatte

Quarante millions de « fausses » montres produites chaque année dans le monde contre 30 millions de « vraies » montres suisses, selon les chiffres de la Fédération de l'industrie horlogère suisse. Pourtant, les solutions d'identification et d'authentification sont nombreuses, comme celle de la société genevoise WISeKey, qui propose un certificat numérique cryptographique sécurisé contenant le code d'identité du produit, stocké sur une puce, ou celle de Mimotec à Sion, qui fait apparaître un authentifiant en pointant un laser sur une surface diffractive d'une pièce horlogère. Alors, pourquoi aucune ne semble vraiment s'imposer? Nasser Hefyene a étudié la question en profondeur et a constaté que « très souvent, les solutions proposées sont dérivées d'applications annexes qui ont été ramenées à l'horlogerie » . Parmi les principales lacunes qu'il a listées figure la dissociation physique entre l'authentifiant et le garde-temps. « Cela peut rendre coûteux le mode de lecteur car il nécessite un appareil joint, ou alors, lorsque le prix est abordable, le mode de lecture peut s'avérer compliqué », explique l'entrepreneur. L'autre obstacle de taille qu'il relève: « L'authentifiant touche au coeur de la conception de la montre ou à son apparence, ce que les horlogers détestent. » Fort de ces constats, il étudie diverses pistes technologiques pour trouver la plus prometteuse et s'approche du professeur de l'EPFL Nicolas

Grandjean. Ensemble, ils planchent sur une solution basée sur la nanophotonique. Celle-ci est baptisée DNAwatch et s'inspire, dans l'esprit, des dispositifs appliqués aux billets de banque. « Nous intégrons au verre de montre en saphir un dispositif nanophotonique entièrement transparent du fait de sa très faible épaisseur (10 000 fois inférieure à celle d'un cheveu) », explique le fondateur de la société Nanoga. Invisible à l'oeil nu et à la lumière du jour, cette couche a toutefois la capacité d'absorber les rayons UV et de les transformer en diverses couleurs. Ainsi, un logo, un texte ou un numéro d'identification unique peut apparaître instantanément sous une lampe UV standard et permet de lutter contre la contrefaçon. « Malgré la haute technicité de cette solution, en termes de coût, elle reste abordable pour les marques de luxe affectées par ce fléau », estime Nasser Hefyene.

Soit vraisemblablement en deçà de 100 francs par unité, un chiffre non confirmé par le dirigeant. Une première série pilote devrait démarrer bientôt avec une marque horlogère. La start-up lausannoise, autour de laquelle gravitent cinq collaborateurs, souhaite désormais trouver entre 1 et 3 millions de francs avant l'été pour financer son développement. « Car l'objectif est de monter notre propre ligne de production en 2015 », annonce Nasser Hefyene. 2

Annexe 2

Identifier

Document n° 2

Date du document : 2 avril 2014

Titre du document : Saisie de mille copies de montres Ice-Watch

Source : http://www.ouest-france.fr/quimper-saisie-de-mille-copies-de-montres-ice-watch-par-les-douanes-2078066

Nature du document : Article de presse

Comprendre

• Mots clefs du document :Saisie, contrefaçon, douanes, amende, Asie, lutte, destruction, Icewatch

Titre du chapitre : Contrefaçon des montres

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Les douaniers de Quimber ont saisie milles copies de montres Ice-watch provenant d'Asie achetées par une enseigne située en France. C'est le modèle et le dessin qui ont été copiés.

La centrale d'achat a écopé d'une amende et la destruction de la marchandise.

Ouest-France (site web)

Bretagne, mercredi 2 avril 2014

Saisie de mille copies de

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