Étude de comptabilisation d’un plan d’amortissement

DOSSIER 2: Étude de comptabilisation d’un plan d’amortissement

5) l’amortissement est linéaire car les annuités normales sont toutes identiques (2000 euros) et la première et la dernière annuités forment une annuité normale (500+1500=2000 euros)

6)Si la 1er et dernière annuité forment une annuité normale (1 an d’utilisation), en additionnant toutes les lignes du tableau, on peut contester que la durée d’utilisation prévue de cette immobilisation est de 4 ans.

7) La 1er annuité représente 1/4 d’annuité normale (500/2000).

Jusqu’au 31/12/N le bien a donc été utilisé 1/4 d’année soit 90 jours (360/4). Il a donc été mis en service le 1er octobre N.

8) Le comptable à utilisé ce compte pour contrepasser en partie l’écriture d’acquisition (débit d’un compte de classe 2), tout en respectant le principe des coûts historiques (ajout d’un 8 en seconde position de ce compte).

9) Base amortissable: 8000-2000=6000

Annuité N: base amortissable x consommation d’UO en N/consommation totale d’UO: 6000 x 8000/(8000+18000+20000+10000)=600 euros.

10)Il s’agit du principe de prudence qui oblige les entreprises à constater tous les évènements qui risque de faire baisser la valeur des actifs au bilan. Dans le cas présent l’utilisation du bien engendre une consommation de ses avantages économiques, ce qui provoque une baisse de sa valeur.

11) Les dotations aux amortissements provoquent une augmentation de la capacité d’autofinancement des entreprises car il s’agit de charges calculées et non décaissées qui font baisser artificiellement le résultat sans pour autant provoquer une baisse de la trésorerie de l’entreprise. La ressource ainsi constituée ne sera pas distribuée en dividendes et servira pour l’autofinancement.

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