La question des délocalisations : un sujet filandreux ?
TD : La question des délocalisations : un sujet filandreux ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar gregdepennart • 12 Mai 2013 • TD • 1 412 Mots (6 Pages) • 983 Vues
Délocalisation
Introduction
La question des délocalisations : un sujet filandreux ?
Sujet dans le quotidien de nos informations. Sujet passionnelle. Les frontières sont difficiles a définir entre implantation , délocalisation et importation
- entre délocalisation et importation : il y a des importations de nature délocalisation. Il faut trouver dans les importations les articles qui sont des délocalisations.
- entre délocalisation et implantation : c’est un flux financier parfois pour des raisons politique .
La délocalisation a parfois lieu chez nous , ex des transporteurs : un chauffeur qui venait de Pologne et déchargeait a Paris repartait a vide. Maintenant qui sont implantés en France il peut aller livrer à Lyon. On mesurera d’autant moins bien les délocalisation quand on travaille on macro économie car on ne voit pas les enjeux. On peut le voir au niveau des comptes de l’entreprise. Travail long a partir des données de l’entreprise. Soit technique d’enquête sur les entreprises soit on étudie les variations communes dans les entreprises.
Il faut que le compte achat augmente et que dans le compte achat il y ait des achats venant de l’extérieur. Il faut une baisse de la production et que l’emploi baisse. L’INSEE travaille sur des données d’entreprise qui a des limites car c’est un travail minutieux et les données ne sont pas fiables parfois. De plus dans les très grandes entreprises on ne voit pas les différences. Il a peu d’étude.
I) les formes
A) délocalisation stricte et au sens large.
Il faut faire la différence entre externalisation et délocalisation.
Externalisation : l’entreprise fait exécuter a l’extérieur un certain nombre de taches. Parfois l’entreprise passe par un sous-traitant en imposant un cahier des charges. Ou alors on achète le produit sens imposer de cahier des charges.
Délocalisation : off-shoring : je fais exécuter à l’étranger.
Localisation Produit internalisé Produit externalisé
A l’intérieur du pays Production a l’intérieur du pays et de l’entreprise Production a l’extérieur de l’entreprise mais a l’intérieur du pays (domestic out sourcing)
A l’étranger Production a l’intérieur d’un même groupe mais a l’étranger ( off-shore in house sourcing) Production a l’extérieur de l’entreprise a l’extérieur du pays.
On appellera délocalisation au sens stricte l’off-shore in house sourcing. On fait au sein d’une même entreprise exécuter des tâches. On doit pouvoir mesurer une baisse du chiffres d’affaire dans la filiale nationale et une augmentation dans celle étrangère. Même phénomène sur l’emploi.
La délocalisation au sens large ( case 4 ) on fait exécuter des taches a l’extérieur de l’entreprise mais a l’étranger. Pas d’investissement direct , pas d’implantation. On a deux variantes : sous-traitance ou simple achat sans cahier des charges. caractéristique : Baisse de la production domestique , baisse de l’emploi , augmentation des achats externes , une augmentation des achats extérieurs , parfois arrêt d’activité en France.
B) les formes variées et multiples des délocalisations ( large et stricte)
1) la délocalisation de laboratoire de recherche et développement
-chaine de valeur de M. Porter
C’est la premier forme de délocalisations. C’est une délocalisation light car peu d’ingénieur. Elles se font dans le soucis de ce rapprocher de laboratoire plus significatif et dans une dynamique porteur (se mettre la ou il y a un dynamisme). De plus en plus ce font dans des « placenta nourissiés » qui seront de plus en plus territorialisé.
2) la délocalisation des centres de décisions.
Déplacement indolore et incolore partiel ou totale. Délocalisation light car pas forcement visible à court terme. Participe au départ au jeune diplômé , fuite des cerveaux.
3) délocalisation classique de la production ou des services
ex : les centres d’appels ( on joue sur les coûts , le fait qu’il y a déjà des compétences francophones , et à technologie égale)
II) les fondements à la délocalisation
Société Atkearney : 8 arguments :
- réduction des coûts : 36 % des opérations
- proximité clients : 17 %
- croissance des ventes : 14 %
- améliorer la productivité : 13 %
- accéder à un marché étranger : 9 %
- amélioration de la qualité : 6 %
- accroissement des compétences : 5 %
- autres 2 %
Les motifs des PME :
- facteurs prix : 70 et 80 %
- technologique : 25 %
- conception , compétence locale : 25 %
Articulation évidente entre facteurs prix et non prix , plus important dans les grands groupes que dans les PME. => dans les produits industrielle qui incorporent beaucoup d’innovation , de savoir faire ( facteur non prix) il y aura donc a coup sûr des barrières a la sortie pour la délocalisation. La déloc n’est pas fatale.
Des lors que le facteurs prix compte beaucoup il y a une barrière a la sortie . lorsqu’on raisonne sur des sous-ensemble ( des équipes dirigeantes) on délocalise un staff pour
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