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Au sein de chaque compagnie, il y a un système de hiérarchisation, qui est géré par ce que l’on appelle un système de gouvernance. Ce que l’on retrouve dans celle-ci, ce sont des personnes aux pouvoirs, c’est le point de départ, où les dirigeants d’entreprises prennent des décisions et qu’ensuite ces décisions affecteront l’ensemble de l’entreprise ou de l’organisation au niveau stratégique, organisationnel et opérationnel. Après toutes ces démarches, nous arrivons à un système de contrôle. Le contrôle a toujours fait partie de la société humaine où nous vivons, c’est un outil de gestion et un instrument que l’on utilise pour faire la vérification des mesures adoptées du point de départ et s’assurer qu’elles sont prises en compte au niveau de l’organisation en tenant compte de la vision et de la mission. Le contrôle touche à tous les aspects d’une entreprise que cela soit au budget financier, au projet en cour, dans le département des ressources humaines et dans le plan stratégique de l’entreprise. Grace au contrôle, ses entreprises font des évaluations et des analyses d’écarts coté budgétaire pour ensuite faire la collecte d’informations ce qui les emmènera à définir les objectif et les normes de contrôle attendu tout au long de l’année et qui permettrons les dirigeants d’entreprises ou tous personnel du management à apporter des correctifs au sein de l’entreprise.

 Au sein du Service Correctionnel du Canada, il y a plusieurs niveaux de contrôle, commençant par le plus haut niveau de la pyramide, la gouvernance, qui est dans le cas du SCC le gouvernement fédéral. C’est à ce niveau que le sens du mon contrôle est attribué, car c’est l’état qui prendra la peine de redistribué le montant monétaire qu’aura droit le SCC tout au long de l’année. Le prochain niveau est celui du contrôle stratégique, qui est dans notre cas, le superviseur de monsieur Frechette. On appel cette personne un administrateur, qui comme nous l’a expliqué monsieur Frechette lors de notre entrevue, que c’est une personne qui a beaucoup d’expériences au niveau du SCC en gestion du personnel, le rôle de cette personne au quotidien, est de garder un contrôle au niveau de tout son territoire, de savoir tous ce qui se passe dans chaque Service Correctionnel du Canada, dans chaque province. L’administrateur a accès à un montant d’argent où chaque personne au même poste que Monsieur Frechette peut avoir accès. Pour y avoir accès, il y a deux étapes au niveau organisationnel que doit faire le gestionnaire donc dans notre cas monsieur Charles Frechette, la première est de préparer un plan détaillé où il est expliqué pourquoi il a besoin d’argent pour sa région, et ensuite le gestionnaire doit convaincre l’administrateur qu’il en a besoin plutôt que de le donner à une autre région.

 Au dernier niveau, nous avons le niveau opérationnel, c’est le contrôle qui permet l’amélioration dans les différents niveaux de l’entreprise. C’est à ce niveau que les décisions prisent par la gouvernance seront mise en place et que nous pourrons ressentir et voir les répercussions sur les employés de l’entreprise.

Une organisation comme le SCC doit être contrôlé minutieusement, faisant parti du gouvernement fédéral, mais surtout ayant besoin de financement, car c’est une entreprise non rentable du tout nous explique Charles Frechette, tout est contrôlé, que cela soit l’achat d’une machine, à l’achat d’un outil passant par l’embauche de nouveaux employés. Lors de notre entrevue, monsieur Frechette met l’emphase sur toutes les procédures à suivre pour l’ensemble de son département. En voici un exemple pour l’embauche d’un employé, le temps de passé plusieurs entrevues, ensuite faire des recherches sur la personne, sur son passé, sur ses emplois précèdent peut presque prendre 1ans, et ce qui arrive selon monsieur Frechette, au moment où le tout est conforme, l’employé qui avait appliqué il y a un an de cela à trouver un nouvel emploi entre temps. Donc ce qui fait retarder le processus et il se retrouve en manque de personnel, et cela est un problème sa fait plusieurs année, car comme ils sont en manque de personnel, le processus prend deux fois plus long.

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