L’industrie du textile au Canada.

Question 1

L’industrie du textile au canada est encadrée par divers intervenants, conditionner par plusieurs éléments qui dans la majorité de temps visent des objectifs divergeant.

Chose qui rend le secteur vulnérable, instable et dépendant néanmoins le textile canadien et plus spécifiquement québécois jouies de plusieurs opportunités non exploités qui peuvent soutenir l’épanouissement de cette industrie et surtout la faire sortir de cet état morose.

Le cas Angelo Bucaro, nous rapprochent plus des réalités du textile canadiens et nous expose les divers faiblesses et opportunités du secteur que je résume dans le cadre de cet exercice.

A titre de faiblesses, je note que les difficultés des textiles canadiens se résument en 3 éléments principaux qui sont liés en effet de cascade à savoir :

Accessibilité du secteur et déconcentration des intervenants: le secteur de textile connait une forte concentration des petites entreprises et très petite entreprises, en vue de l’attrayance des coûts d’investissements dans le secteur.

La majorité des investissements se contentent de créer des petits ateliers avec moins de 20 salariés, ce qui donne un paysage multi organisationnels former principalement de micro-organisations qui manquent d’orientation et œuvrent dans différents sens avec divers objectifs. Situation qui d’un côté ne permet pas de défendre efficacement les intérêts de cette industrie.

D’un autre coté empêche de tenir rigueur à l’avancement technologique que connait la concurrence à l’échelle international.

Technologies non avancées : le retard technologique que connait cette industrie lui cause comme principal préjudice une dépendance vis-à-vis des marchés internationaux au niveau des matières premières ceci bien évidement ne passe pas inaperçue quant aux tarifs et production et coût de revient.

Faible notoriété et Concurrence internationale : avec un Marché interne de 8.5 milliards de dollars contre seulement 635 millions de dollars au niveau international on peut clairement constater la difficulté qu’éprouve le textile canadien, à pénétrer les marchés internationaux et à se créer une forte notoriété.

Ce manque de notoriété ne se limite pas à la difficulté de se créer des opportunités hors le canada, mais l’industrie canadienne du textile se voit menacer sur son propre territoire depuis les accords de libéralisation et spécialement l’accord du libre-échange avec les états unis.

A noter également que l’industrie textile dans son secteur féminin souffre de plusieurs handicapes spécifique à ce segment qui est marqué spécialement par le niveau élevé d’exigence en terme de qualité, et la recherche de produits haute couture qui n’est pas le point fort du textile canadien , ce qui fait que la majorité des produits offerts qui ne sont pas hautes gammes ou griffé sont proposés à bas prix , un handicap majeur qui compliquera d’avantage l’évolution de cette industrie au canada .

De l’autre côté de la médaille l’industrie canadienne du textile, a plusieurs opportunités et potentiel à exploiter et qui pourraient renverser la situation morose de cette industrie, cela spécialement dans le secteur du textile féminin, mais avant d’évoquer les possibilités de ce secteur je souhaite signaler un élément majeur pour l’ensemble de cette industrie qui est le fait qu’elle soit le premier employeur non gouvernemental. Ainsi avec une meilleure organisation et structure des intervenants du domaine, l’industrie pourra bénéficier d’un soutien gouvernemental important qui pourra l’aider à révolutionner le secteur, en évoquant cela je pense par exemple à des politiques

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