La végétalisation des espaces urbains

Table des matières :

Définition……………………………………………………………………………………………...……………………….3

Introduction……………………………………………………………………………………………………………………4

I- La végétalisation des rues ……………………………………………………………………………..……….5

II- Les fermes en ville…………………………………………………………………………………….…………..8

III- La végétalisation des bâtiments : Cas Parisien …………………………………………..…………..10

1. Les toits végétalisés………………………………………………………………………………………..………….10

1.1 Qu’est-ce qu’un toit végétalisé ?.............................................................................................10

1.2 Situation actuelle……………………………………………………………………………………………..……..12

1.3 Potentiel de l’installation de toit végétalisé à Paris………………………………………………..…….13

1.4 Aspect économique…………………………………………………………………………………………..…….15

1.5 Aide financière……………………………………………………………………………………………………….16

2. Les murs végétalisés………………………………………………………………………………………………….17

2.1 Qu’est qu’un mur végétalisé ?...............................................................................................17

1.2 Situation actuelle…………………………………………………………………………………………..……….20

1.3 Potentiel de mise en place de murs végétalisés à Paris………………………………………..……….20

1.4 Aspect économique……………………………………………………………………………………..…………21

Conclusion……………………………………………………………………………………………………..………….22

Bibliographie………………………………………………………………………………………………..…………….23

Introduction

À l’horizon 2017 plus de la moitié de la population mondiale vie en ville (environ 54%). La plupart des grandes villes se sont développées de manière exponentielle au cours du 19eme siècle à cause de la progression de l’industrie et des services. Il a donc fallu mettre en place le plus rapidement possible des infrastructures répondant à ce nouveau mode de vie. Mais aujourd’hui le « vivre en ville » soulève un certains nombres de problèmes de nature environnementale : Qualité de l’air et des cours d’eaux, émission de gaz à effet de serre, ilot de chaleur… ainsi que des problèmes de santé qui en découlent pour les populations. Malgré un environnement urbain très « bétonné » et structuré de manière à rendre les déplacements du quotidien efficace, l’homme a par nature et pour des raisons de bien être un grand besoin de communion avec la nature. C’est pourquoi, la plupart des grandes villes privilégies de plus en plus l’aménagement de parc, de forêts et d’espaces naturels en milieu urbain ainsi que dans leur dans leur périphérie. Mais la population étant très dense et l’espace réduit il n’est pas toujours possible de concilier envie de nature et vie urbaine. Ce qui pourrait nous amenez à repenser la manière de vivre en ville. À l'ère des changements climatiques, du développement durable les villes ne pourraient-elles montrer la voie à suivre ? Si l’espace au sol est déjà presque saturé la solution pourrait venir d’ailleurs, les murs et les toits végétaux permettent de concilier végétalisation et manque d’espace. Depuis l’Antiquité les hommes ont connu toutes sortes de plantes qui se développent très bien en milieu urbain. Ce n’est que durant cette dernière décennie que l’idée de plante qui s’adapte et redessine le paysage urbain est devenu populaire et accessible grâce aux nouvelles technologies. En intensifiant la végétalisation des villes leur activités pourraient devenir bénéfique pour l’environnement

Un autre des grands enjeux des sociétés urbaines est la densité de sa population. Mais il est possible d’en tirer parti. Les différents types de transport en commun mis en place (métro, bus, tram…) permettent déjà de réduire l’empreinte écologique de manière significative. Mais le vivre ensemble ne s’arrête pas simplement aux déplacements. On peut prendre l’exemple de l’alimentation. Depuis des siècles les jardins communautaires est un type de partage qui fleurit en milieu rural comme en milieu urbain. Ne serait-ce pas possible d’étendre et d’accroitre ce principe de partage de l’espace urbain ? De nombreux espaces urbains sont déjà dédiés à la culture de plante décorative, celle-ci contribuent au bien être dans les villes. La transformation de ses espaces, en espaces pour plantes comestibles, permettrait en plus de l’aspect visuelle, de profiter aux habitants des villes en leur donnant accès à des fruits, légumes, plantes aromatiques… qui poussent tout près de chez eux. Ces actions combinées à la création de ferme urbaines permettraient de réduire progressivement l’importation de certains produits et donc de supprimer l’aspect nocif de leur transport. Il contribuerait aussi à améliorer les liens sociaux entre individus.

A partir de ces différentes pistes nous en viendrons donc à nous demander comment transformer nos espaces urbains dans le cadre du développement durable ? Et de quelle manière mettre en place ces mesures. Pour répondre à cette problématique et exposer les faits nous avons

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