Financement de l'innovation

Financement d'une technologie «Food 3D»

1‐ Vous approcheriez quel centre de recherche pour soutenir le développement?

Tout d’abord, étant un étudiant de l’ÉTS, j’approcherai une chaire de recherche dans le domaine (ou domaine connexe) tel que : La Chaire de Recherche en Fabrication Additive, de M. Vladimir Brailovski^[1]. Il serait aussi pertinent d’approcher des centres de recherche bioalimentaires tel que La cité de la biotechnologie de Saint-Hyacinthe. Ensuite, il sera possible d’approcher les organismes de financement tel que MITACS et avec l’aide du partenaire privé qui sera intéressé à développer et commercialiser ce nouveau produit/procédé. Par la suite, divers programmes en R&D et des projets d’innovation existent tant au niveau des gouvernements Fédéral et Provincial envers qui le projet de impression 3D d’aliments représente une nouvelle technologie/procédé qui serait très intéressante.

2‐ À quel type de marché vous vous attaqué ?

Le marché visé serait, en premier lieu les chaines de production et distribution de produits alimentaires. Une production en grande quantité permettra de financer le coût des équipements et le coût de la R&D tout en permettant de générer des profils. Ensuite, des applications plus résidentielles seraient envisageables.

Ce type de produit/technologie, d’après moi rencontre les concepts de Kim et Mauborgne : «Stratégie Océan Bleu». Puisqu’il s’agit d’une nouvelle façon de répondre au besoin du marché, déjà saturé par l’offre des divers chaines/producteurs alimentaires. Il s’agit d’une nouvelle approche qui permettra d’ouvrir des nouveaux marchés et également de développer des nouvelles technologies tout en créant des nouvelles ouvertures pour une nouvelle économie. Il est donc question de créer une rupture pour retrouver la croissance.[pic 1]

3‐ Déterminez la courbe du Payback et discutez la problématique

Tel que discuté au cours, la manière la plus adéquate de gérer l’argent dans le cadre d’un projet d’innovation est l’utilisation de la courbe de l’argent (4S).  Tel que montré dans la figure 1, le maintient d’un équilibre des phases de Démarrage, Vitesse, Échelle et Support répresente le plus grand défis et cause souvent des échecs. Afin, de bien gérér le projet d’innvoation, il faut être en mésure de tenir compte de ces paramètres ainsi que de leur intéraction et de ce qui pourrait les affecter ou du moins décider s’il est pertinant de continuer.

Incubateur Centech

Que sont devenues les entreprises du Centech ? Choisissez en trois et décrivez le genre de financement qu'ils ont obtenu.

Kinova : Développement de technologie robotisée appliqué au domaine de la santé

Les fondateurs, Charles Deguire et Louis-Joseph Caron L'Écuyer, deux diplômés en génie électrique de l’ÉTS, ont démarré leur entreprise au Centre de l’entrepreneurship technologique (Centech) en 2006. En 2009 ils ont reçu du ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation du Québec, une aide financière de 300 000 $. Depuis, l’entreprise s’est installé dans ces nouvelles installations à Boisbriand.

L'intubation, la chirurgie à distance, l'assistance en salle opératoire, l'échographie à distance, etc. Voilà les cibles de la PME sur un horizon de quatre à cinq ans.

MAADI group : Création de structures modulaires en aluminium permettant de fabriquer des ponts pour circulation légère

MAADI Group a conclu un partenariat avec Alcoa Innovation Canada pour la fabrication de la conception du pont pour les infrastructures, la construction et les projets de développement durable. MAADI Group a gagné 2008 Design Award Competition de la Fondation Extrusion Technology dans la catégorie architecture et le Prix régional d'innovation 2009 pour une nouvelle technologie pour cette conception de pont breveté.

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