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Experience de psycho

Étude de cas : Experience de psycho. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  2 Décembre 2017  •  Étude de cas  •  1 405 Mots (6 Pages)  •  1 051 Vues

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EXPERIENCE PSYCO

L’habit ne fait pas le moine :

Les marques sont-elles si importantes pour les jeunes de nos jours ? Dans cette société de consommateurs, faut-il avoir des marques pour être accepté ? L’uniforme scolaire serait–il une solution ?

Les marques influencent de plus en plus le code vestimentaire des adolescents. Avoir des marques c’est être cool, faire partie d’une bande, un groupe. Cela représente une attitude, un look, c’est être cool.

L’importance des marques

De nos jours, les jeunes sont de plus en plus ‘‘accros’’ aux marques. Chez certains lycéens, pour être accepté il faut avoir des marques et être habillé à la mode. Ceux qui ont des marques, on les admire, les contemple. Ce sont des gens populaires. Par contre, ceux qui ne portent pas de marque et ne sont pas à la mode, sont considérés comme des paumés, des ringards. Ces préjugés, on les retrouve souvent chez les jeunes issus d’un milieu social pauvre.

Les garçons sont plus sensibles aux marques que les filles. Celles-ci trouvent souvent un moyen d’être à la mode sans avoir des grandes marques chères.

L’uniforme scolaire

L’uniforme est moins utilisé, à présent, car chacun veut avoir son propre style. Pourtant, le port d’uniforme scolaire serait un bon moyen pour préserver l’égalité et réduire les différences étant donné que les élèves sont souvent jugés pour sur leur style vestimentaire. Mais d’autre part, l’habit est un élément de reconnaissance et de démarcation. L’uniforme est aussi signe de la discipline, de rigueur, de fermeté, c’est pourquoi de plus en plus de parents sont pour.

Comme on dit ‘‘L’habit ne fait pas le moine’’ et ‘‘Ce n’est pas l’apparence qui compte, mais ce qu’il y a à l’intérieur’’.

Sources:

« La sensibilité aux marques plus forte dans les milieux socio-économiques faibles », paru sur le site Internet http://www.infobourg.com, Belgique, consulté le 9 février 2009, http://www.infobourg.com

«Dis-moi ce que tu portes et je te dirai ce que tu es », paru sur le site Internet http://www.marketingjeunesse.com, Belgique, consulté le 9 février 2009, http://www.marketingjeunesse.com/?p=325.

«Accros aux marques », paru sur le site Internet www, http://www.rfi.fr, Belgique, consulté le 9 février 2009, http://www.rfi.fr

« L’uniforme à l’école : Pour ou Contre ? », paru sur le site Internet http://www.livenet.fr, Belgique, consulté le 23 février 2009, http://mag.live

2)        L’impact de la tenue vestimentaire sur les personnes à qui on s’adresse a déjà été étudié dans certaines études précédentes. Une enquête a déjà été menée, sur l’attachement aux marques chez les jeunes. Chez certains lycéens, pour être accepté il faut avoir des marques et être habillé à la mode. Ceux qui ont des marques, on les admire, les contemple. Ce sont des gens populaires. Par contre, ceux qui ne portent pas de marque et ne sont pas à la mode, sont considérés comme des paumés, des ringards. Ces préjugés, on les retrouve souvent chez les jeunes issus d’un milieu social

pauvre.

  1. Titre et Première diapositive

Baptiste AMIOT, Valentin Charrière, « l’habit ne fait pas le moine et le sexe aussi »

  1. Introduction 

1) L’objectif de notre recherche est de montrer que la tenue vestimentaire mais aussi le sexe  à une influence sur le comportement des personnes qui nous entoure dans le cadre de la vie quotidienne (la rue).

Kleinke en 1977, avait dans une expérience des plus classiques en psychologie sociale, proposé à des jeunes femmes de demander de l’argent à l’intérieur d’un aéroport. Suivant les différents cas, ses expérimentatrices étaient habillées proprement ou soit de manière négligée. Quant au comportement et à la manière d’aborder les individus, elles agissaient de la même façon dans les deux conditions  vestimentaire différentes. Les résultats ont donc montré que si les femmes étaient habillées proprement, les donateurs entaient eux, 2.5 fois plus nombreux que pour les femmes avec une tenue négligée. Les résultats de l’expérience on montrés que les donateurs donnaient plus aux femmes vêtues proprement  soit 2.5 fois plus que une tenue négligé.

  • Mais cette expérience à des limites. En effet cette étude n’est portée  que sur l’impact des vêtements que peuvent porter les  femmes, sur le comportement des individus et n’étudie pas le comportement selon la tenue vestimentaire d’un individu lambda qu’il soit un homme ou une femme.

2) On se pose donc la question de l’effet que notre tenu peu avoir dans la vie quotidienne et des différents préjugés qu’elle peut engendrer sur les hommes.

3) Nous pensons donc qu’il existe des comportements différents des hommes selon le mode vestimentaire et le sexe des personnes  dans la société en générale.

  1. L’expérience en tant que telle

Participants :

  • Pour cette étude nous utiliserons deux expérimentateurs, un homme et une femme trentenaire et qui expérimenterons l’hypothèse sur un échantillon de 100 hommes de n’importe quels âges.

Procédure :

  • Pour cela, nous utiliserons une tenue correspondant  à un niveau de vie plutôt modeste (pantalon, survêtement) et une autre tenue correspondant à un niveau de vie plutôt aisé (costume, tailleur). Les deux expérimentateurs qui seront de niveau culturel identique à qui nous ferons utiliser  les deux tenues vestimentaires auront chacun pour mission individuelle, d’aborder des hommes dans la rue de tout âge différent en demandant  s’il vienne de la ville ou du quartier et par la suite demander si il est possible de leurs donner des renseignements sur un lieu-dit ou l’expérimentateur doit se rendre. Ils opéreront de de manière identique dans l’approche des individus.

[pic 1]

[pic 2]

Mesure :

  • Nous observerons donc nos résultats à partir des réponses des hommes interrogés. Et nous les classerons selon les réponses positives en pourcentage dans un graphique où nous classerons aussi par mode vestimentaire et par sexe les deux expérimentateurs. Nous en déduiront donc des pourcentages pour pouvoir mieux les comparer.

Résultat :

  • Nous avons donc observé que les hommes indiquaient, bien plus souvent les directions lorsque l’expérimentateur était une femme. En effet le nombre d’hommes ayant répondu à la femme dans le cadre de notre expérience était deux fois plus important que ceux ayant répondu à l’homme lorsqu’il s’agissait de tenue modeste soit 30% de réponse pour l’homme contre 60% pour la femme, ce qui revient à plus de la moitié. Et lorsqu’il s’agissait d’une tenue aisée 60% répondais positivement à l’homme contre 85% pour la femme soit presque 1/3 lorsqu’il s’agit d’une femme. Ces résultats montre aussi une différence du comportement  par rapport à la tenue des expérimentateurs dans le nombre de réponse positive, soit  30% en plus pour l’homme et 25% en plus la femme.

Pourcentage d’homme ayant indiqué le chemin selon la tenue et le sexe des personnes

[pic 3]

Expérimentateur[pic 4]

                   

Tenue

Homme

Femme

Mode vestimentaire aisé

60%

85%

Mode vestimentaire modeste

30%

60%

...

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