Cas efcan part 1

1) Porter a mis en place 5 forces concurrentielles : pouvoir de négociation des clients, pouvoir de négociatio des fournisseurs, menace des substitus, menace de nouveaux entrants et l’intensité concurrentielle. Ces 5 forces concurrentielles permettent de réaliser une analyse stratégique et d’identifier les facteurs clés de succès. Maitriser ces facteurs stratégiques permet à l’entreprise d’obtenir un avantage concurrentiel.

�2) Les dirigeants de l’entreprise EFCAN ont choisi une stratégie de pénétration du

marché car ils continuent de faire les mêmes produits sur le même marché. En effet

l’entreprise mise sur une démarche d’amélioration de la qualité mais ne veut pas se

perdre à tenter une démarche de diversification ou de développement de nouveaux

produits. Ce sont les actionnaires qui sont décideurs de cette stratégie, la rentabilité est

primordiale pour eux, l’investissement sans certitudes est donc compliqué. L’entreprise

joue donc sur une stratégie d’amélioration de la qualité du travail et de la satisfaction client

en proposant des prix attractifs, en offrant des garanties de satisfaction aux clients et en

mettant en place des dispositifs permettant de connaître les réels besoins et demandes

des clients, tout en gardant leur travail de base qu’est la construction de boites de

conserve.

3) Dans l’entreprise EFCAN plusieurs types de partie prenantes externes sont visible.

Les clients dans un premier temps influent évidemment sur le management de l’entreprise

en demandant toujours plus de qualité, dans délais records, et à des prix défiants toute

concurrences, obligeant ainsi l’entreprise à réduire les coûts ( charges salariales par

exemple ) au maximum.Les normes environnementales et de sécurité alimentaire

demandes également beaucoup d’exigence et de rigueur ce qui peut influer sur le

management de l’entreprise car ces normes censés défendre les intérêts des

consommateurs demandent un management strict.

4) La gouvernance de l’entreprise EFCAN est tournée vers les actionnaires,

cette entreprise a donc un modèle de gouvernance shareholder. En effet nous pouvons

voir que les actionnaires peuvent “freiner” la volonté de développement et/ou

d’investissement de l’entreprise. Nous pouvons donner l’exemple de l’année 2007 où

l’entreprise voulait investir dans une troisième ligne de production afin d’élargir leurs

débouchés comme l’explique le directeur de la production, mais le projet n’a pas eu lieu

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