Analyse de la situation de l'entreprise GDF SUEZ
Lettre type : Analyse de la situation de l'entreprise GDF SUEZ. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar SethLG • 15 Décembre 2013 • Lettre type • 287 Mots (2 Pages) • 838 Vues
ANALYSE DE LA SITUATION DE L’ENTREPRISE
Une partie prenante est un individu ou groupe d’individus qui peuvent influencer ou être affectés, directement ou indirectement, par les décisions prises dans une entreprise. On distingue les parties prenantes internes (dirigeants, salariés, actionnaires, syndicats) et les parties prenantes externes (fournisseurs, clients, associations, Etat…).
Dans le cas de l’entreprise GDF SUEZ, plusieurs parties prenantes sont mentionnées :
* L’Etat, qui jusqu’en 2004 restera l’actionnaire principal de l’entreprise publique GDF avant sa privatisation. Dès lors, l’Etat se substituera aux actionnaires du marché privé et les obligations qui liaient ces deux parties disparaîtront.
* Les dirigeants de l’entreprise dont l’intérêt est de mener une stratégie de développement durable ;
* Les salariés, qui souhaitent une augmentation des salaires de 7.5% et une prime de 1500 euros ; pour se faire, ils mèneront des actions de grèves.
* Les syndicats représentatifs des salariés, ici la CGT, partagent et défendent les intérêts de ses membres face aux dirigeants ;
IDENTIFICATION DU PROBLEME DE MANAGEMENT
La gouvernance est un système qui doit permettre de trouver un juste milieu entre les intérêts des différentes parties prenantes.
Les dirigeants de GDF SUEZ projetaient de s’attribuer la totalité des options sur titres, d’une valeur de 10 millions d’euros. Ce qui a entrainé un mécontentement de la part des salariés : en effet, ces derniers, scandalisés par la nouvelle, ont décidé de renforcer leur mouvement de grève car pour des raisons économiques, les dirigeants estimaient « impossible d’augmenter les salaires » alors qu’ils avaient l’intention de s’enrichir des stock-options.
PROPOSITION DE SOLUTIONS
Pour résoudre ce problème, des solutions ont été trouvées. Parmi elles, un décret gouvernemental a été annoncé par l’Elysée visant à interdire les bonus et stock-options pour les patrons de groupes frappés par la crise et... [à continuer]
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