Le cas Giffard

LE CAS GIFFARD

Question 1 : Montrer qu’Emile, Bruno et Edith Giffard sont des entrepreneurs

        Selon Schumpeter, « le rôle de l’entrepreneur consiste à réformer ou à révolutionner la routine de production », c’est ce qu’a entrepris Emile Giffard en créant en 1885 la menthe-pastille. Avec ce produit, il s’est imposé dans un marché inexploité. De même, ces arrières petits-enfants Bruno et Edith ont eu la capacité de reprendre l’entreprise familiale tout en continuant d’innover notamment en exportant la marque et ses produits dans plus de vingt pays en plus de ceux déjà importateurs depuis les générations précédentes.

Question 2 : Caractériser et distinguer les logiques entrepreneuriale et managériale mises en œuvre dans l’entreprise Giffard

Question 3 : Identifier et analyser les enjeux liés à la logique entrepreneuriale de l’entreprise Giffard

• chiffre d’affaires : 16 699 079 euros
• créée en 1885 et toujours en activité, toujours en expansion permanente (ex : rachat de Bigallet)
• 38% de ses ventes se font à l’étranger
• croissance de 10% par an malgré la crise

Question 4 : Identifier et analyser les enjeux liés à la logique managériale de l’entreprise Giffard

• 47 salariés
• tâches divisées : lui, PDG : export et gestion ; elle, directrice générale déléguée : marketing et commercial
• investissement massifs dans l’outil de production, refonte des packagings, redécoupage des domaines d’activité à l’aide d’un consultant

Question 5 : Montrez que les logiques entrepreneuriale et managériale sont complémentaires

        La logique entrepreneuriale ne peux exister sans la logique managériale et vice versa. En effet, une entreprise ne peut se développer sans certaines compétences managériales : un bon manager doit s’assurer de la continuité de l’activité. C’est son travail de gérer les stocks, les ressources humaines, les plannings, les horaires, l’optimisation et la maximisation des ressources.

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