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Guerre des télécoms

TD : Guerre des télécoms. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  24 Mai 2018  •  TD  •  1 406 Mots (6 Pages)  •  501 Vues

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Aujourd’hui en France, quatre sociétés (Orange, Free, Bouygues et SFR-Numericable) se livrent une concurrence sans merci pour dominer le marché des télécoms. Une « histoire d’argent », qui est aussi une « histoire d’hommes », est-il avancé dès les premières secondes du présent documentaire, qui fait donc le choix de traiter d’une guerre économique en partant des personnalités à la tête des entreprises impliquées. Un tel parti pris laissait craindre une personnalisation excessive, qui aurait fait passer au second plan les aspects structurels. Heureusement, il n’en est rien. L’analyse des profils des quatre patrons permet de mettre en exergue des différences de stratégie, sans gommer le ressort commun : l’insatiable appétit de profit. Le film fait le point sur les suppressions d’emplois dans le secteur, au fil des fusions-acquisitions. En rappelant à chaque fois les dividendes mirobolants distribués aux actionnaires. SFR, par exemple, a régalé les siens à hauteur de 2,5 milliards d’euros en 2015, soit quelques mois seulement après son rachat par Patrick Drahi (Altice) et la suppression, dans la foulée, de 700 emplois.

Comme le capitalisme financier de Drahi, celui, « familial », de Martin Bouygues, ou celui d’un Xavier Niel apparaissent en opposant pour ce qu’ils sont : des nuances d’un même système, où le salarié n’est qu’une simple parenthèse. Quant à Orange, le commentaire annonce bien la couleur lorsqu’il évoque une entreprise en transition entre « capitalisme d’État » et « capitalisme tout court ».

Tout d’abord le documentaire nous présentes c’est 4 personnalités en retraçant leurs histoires. En premier, il y a Stéphane Richard, à la tête d’Orange, le big one, l’historique. Cet énarque, diplômé de HEC, est passé par le cabinet de Christine Lagarde. A la barre de son entreprise gigantesque, il représente le capitalisme de grand groupe, dans lequel l’Etat a encore et toujours son mot à dire. Et s’il se rêve en médiateur neutre, il ne résiste pas à raconter son altercation avec Martin Bouygues, qui a si mal digéré l’épisode de "l’itinérance Free " et n’a cessé de le lui reprocher, en particulier dans les médias. Puis, il y a Martin Bouygues, justement. L'industriel, fils de son père, qui a créé Bouygues Télécom, alors qu’il a hérité de tout le reste. Le documentaire montre l’incroyable affection de ce patron pour son opérateur. Un sentiment qui lui fera refuser les 10 milliards d'euros de Patrick Drahi juste par orgeuil. Ensuite il y a Xavier Neil le troisième homme. Celui par qui le scandale, de lla baisse des prix est arrivés. Celui qui a construit son entreprise "à la main", comme on bâtit une infrastructure informatique et se revendique du numérique et de la Silicon Valley. L'homme, à la voix ébranlée par un mélange d’enthousiasme, de stress et de colère, lorsqu’il a lancé en janvier 2012 son opérateur mobile, et surtout son offre à 2 euros. Celui qui défend la concurrence, "la vraie". Aujourd’hui, il est un membre à part entière de la bande des quatre. Et enfin Patrick Drahi. Depuis qu’il possède SFR, Patrick Drahi ne cesse de faire la une, mais pour autant ne donne quasiment aucune interview. Dans "La guerre des télécoms", il incarne sans détours un capitalisme du 21eme siècle, financier, efficace, dur, qu’il assume. Il rappelle que s’il est le patron de son groupe, il est aussi le seul à en être le propriétaire ! Acheteur d’une entreprise bien plus grosse que la sienne et qui allait lui coûter près de 13,5 milliards d’euros ! Car ainsi commencèrent les discussions qui ont mené à l’imprévisible absorption de SFR par Numéricable.

Sur ce marché (les télécoms) de nombreux mécanismes économiques sont montrées. Tout d’abord l’on peut dire que les télécoms sont un moteur important de la transformation numérique de l’économie. Les investissements et l’innovation dans les télécoms jouent un rôle majeur dans la transformation numérique de l’économie cela as un effet d’accélérateur des investissement télécoms sur l’économie et un effet d’entrainement sur l’ensemble du système numérique. Les télécoms génèrent aussi des nouveaux usages et de nouveaux marchés qui connaissent une forte croissance comme le nombres d’SMS ou de données mobiles (4G). Aujourd’hui les télécoms sont les acteurs centraux du secteur du numériques. Mais en France le secteur télécoms connais des difficultés importantes. La diminution des prix des services (par free ou autres) est un cas unique comparés à d’autres secteurs réglementés également au cœur de la vie quotidienne (Gaz, Electricité) du au faites d’une certaine concurrence importante entre les télécoms. C’est en France que les opérateurs

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