Culture générale et expression
Dissertation : Culture générale et expression. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Fadime04 • 5 Avril 2018 • Dissertation • 1 493 Mots (6 Pages) • 534 Vues
Synthèse
Le travail que nous avons a réaliser se compose de quatre documents : le texte Penser nos catastrophes publié par F. Bussy en 2008, un article Les catastrophes naturelles n’existent pas par R. E Dragorn en 2014, un extrait du poème Sur le désastre de Lisbonne de Voltaire publié en 1756 et enfin, une image publiée dans Le Monde du village de Bento-Rodriguès prise en 2015 au Brésil. Le thème principal de tous ces documents est la catastrophe naturelle. Les catastrophes naturelles sont de plus en plus répandues et les moyens de diffusion de l'information ne cessent d’en parler. Le corpus que nous allons rédiger nous rappel que si les catastrophes naturelles sont provoquées par des causes météorologiques, ou autres, l’homme n’a pas de contrôle. Nous allons nous demander si ces catastrophes naturelles ne sont-elles pas provoquées par l’activité humaine ? Après avoir étudié les différents genres de catastrophes, nous verrons quelle prévention devrait être prise pour limiter la propagation d’une éventuelle catastrophe et en quoi l’être humain joue un rôle majeur dans notre société et sur l’environnement.
Toute catastrophe naturelle a un impact énorme par sa violence et, remet tout en doute au point de se demander si tout cela est dû à la nature ou aux impacts humains. F. Bussy évoque dans Penser nos catastrophes qu’il existe deux genres de catastrophes, les catastrophes naturelles, celles de la nature, et les catastrophes causées par les humains dites celui des techniques humaines. Auparavant, les catastrophes naturelles étaient inexpliquées. Ils supposaient donc alors qu’elles venaient d’une colère divine ou d’un déséquilibre naturel. Les catastrophes naturelles paraissent comme des drames et viennent détruire et rompre nos repères. La photo publiée dans Le Monde nous montre tout aussi bien l’idée d’une nature puissante à cause des dégâts qu’elles engendrent. R. E Dagorn nous affirme lui aussi que les catastrophes naturelles sont soit d’origines naturelles, soit que les espaces à risques sont habités et où les sociétés ont construit des structures ou alors que les sociétés n’ont pas créé ou entretenu les espaces à risques. Or, pour Voltaire ce sont les hommes qui provoquent ces catastrophes d’où il explique que les causes des orages sont les humains. C’est donc cela que l’écrivain essaye de nous faire ressentir par un tremblement de terre à travers l’extrait de son Poème sur le désastre de Lisbonne. Il exprime « malheureux mortels » en faisant allusion à une vengeance de Dieu pour tous les crimes qu’ont causés ces individus touchés par la catastrophe. De même par rapport à la photo publiée par Le Monde, les catastrophes climatiques montrent qu’elles sont dues aux constructions mises en place par l’homme.
Dagorn affirme que les pays les plus pauvres (à faible PNB par habitant) ont le plus de chance d’être touché par une catastrophe. Il affirme également que les catastrophes se produisent par manque d’anticipation et de moyen financier. Les pays à fort risque de catastrophe naturelle sont les pays en voie de développement. Voltaire confirme lui aussi l’idée de la pauvreté. Selon F. Bussy, les catastrophes naturelles ne sont plus considérées comme des actes venant de Dieux. Afin d’éviter qu’une catastrophe ne se reproduise, R.-E. Dagorn suggère la prévention du risque. De plus Bussy évoque l’idée que les catastrophes naturelles peuvent frapper tout être vivant et qu’elles apparaissent comme des drames qui se joue entre l’événement et la victime. Dagorn dit que le fait que les société n’ont pas crée ou entretenu les espaces à risque cela provoque donc les effets de la catastrophe. De nos jours, la catastrophe est synonyme de violation. La prévention identifie les risques et se met en place afin qu’une catastrophe ne se produise pas ou que ses effets soient limités. Ainsi, la mise en place d’un espace du risque aurait permis d’éviter l’effondrement de digues, causées par le cyclone Katrina à La Nouvelle-Orléans et aurait permis l’économie de 100 milliards de dollars. Au Brésil aussi, en particulier dans Le village de Bento-Rodriguès qui a été touché le 6 novembre 2015 par un tsunami de déchets miniers boueux. D’après les statistiques de R.-E. Dagorn, pour 1 million d’habitants, le risque annuel de morts par séisme sera beaucoup plus élevé dans les pays en voie de développement qu’en Californie, une ville qui est située elle aussi sur une faille très active. Cette remarque vaut pour l’ensemble des catastrophes.
L’homme a dans ses actes un effet néfaste sur la planète. Selon F. Bussy, les hommes sont les principaux facteurs déterminants de la catastrophe, ils s’opposent à la prévention des effets et au contrôle des conséquences sur l’environnement. D’après F. Bussy, les catastrophes sont des menaces
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