Conjoncture

Devoir Maison ECONOMIE : P 90/91

Q1)  La politique libérale repose sur le fait que seul l’initiative individuelle et le libre jeu de l’offre et de la demande sur les marchés permettent d’assurer l’équilibre économique  tandis que celle interventionniste se rapporte au fait que l’Etat a lui seul est capable de venir à bout de ces déséquilibre durables.  Selon la conception libérale, l’Etat doit limiter ses interventions, fixer des règles de concurrences  pour un meilleur fonctionnement des marchés, limiter les prélèvements sur les agents afin de pas nuire à l’activité économique.  La conception interventionniste contredit cette dernière car selon elle le libre jeu est inefficace et l’Etat est l’unique moyen pour corriger et relancer l’activité économique en investissant, utilisant les dépenses publiques…

Q2)

En 2012, le taux de croissance de croissance du PIB en volume par apport a l’année précédence (selon Eurostat)  diffère dans plusieurs pays de l’union européenne.

On remarque directement de forte différences notamment pour la Grèce qui à un taux négatif de -6 %et le PIB le plus bas et surtout beaucoup plus bas que celui de la Zone Eu qui est de -0.4.% Le taux de la Zone EU est lui-même négatif mais reste beaucoup plus élevé que celui de la Grèce. L’Allemagne à un  taux de PIB le plus élevé avec 0.7 % soit un taux positif beaucoup plus élevé que la Grèce mais surtout de la Zone Eu. Seul la France (0.2%) et l’Irlande (0.4%) dépasse la moyenne et reste dans le positif tandis que l’Italie (- 2.3%), le RU (-0.3%)  et l’Espagne ( -1.4%) accompagne la Grèce et sont de le négatif avec un faible taux de PIB en 2012.

La consommation finale des ménages  (selon Eurostat) évolue entre 2010 et 2012 pour certains pays membres de l’union européenne. Tout d’abord  l’UE à un taux positif en 2010 1.1%  mais qui va diminuer jusqu’à  -1.5% en 2012 soit une diminution de 2.6.%

On constate que seul l’Irlande et le RU  sont les seul pays a voir un taux positif de 2012 et été dans le négatif en 2010 avec une augmentation  qui double en Irlande de 2.4%  et au RU de 0.4% contrairement aux autres pays tels que la France ou l’Italie  ou sont taux diminue fortement.

Q3) L'économie italienne s'est enfoncée dans la récession au deuxième trimestre avec une nouvelle contraction de 0,7 % de son produit intérieur brut.  Cela est du tout d’abord à l’important  endettement de l’Etat (120% du PIB) , mais surtout à cause de la production industrielle,  pilier de l’économie italienne qui s’est contracté de 1.7% au premier trimestre 2012 et 8.2% sur un an selon AFP. De plus, une baisse de la consommation à été constaté  avec une diminution de 0.2% en mai sur un mois après des baise de 1.7% en avril et 0.7% en Mars dû aux impôts et à l’accroissement du chômage. Le taux de chômage à été inscrit dans le niveau le plus élevé de la série statistique des chiffres mensuel depuis 2014 avec 10.8% de la population active  en juin  contre 10.6% en mai.

Q4)  L’Italie tente de lutter contre la récession en adoptant un plan de réduction des dépenses publiques. La crise  entraîne  une  baisse  des  recettes  publiques  (moins  d’activité, de consommation,  d’investissements,  d’emplois, donc    moins    de  rentrées  fiscales  pour  l’État),  le  gouvernement   veut donc réduire  les  dépenses   et augmenter les impôts pour éviter de creuser davantage le déficit public qui alimente l’endettement public,  déjà  très  élevé en Italie (120 % du PIB).  

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