Cas Monin PESTEL
Étude de cas : Cas Monin PESTEL. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Maël Souidi • 24 Novembre 2020 • Étude de cas • 935 Mots (4 Pages) • 5 003 Vues
Cas Monin : Analyse PESTEL
Souidi Maël
Politique :
L’entreprise Monin possède des sites de fabrications dans 5 pays différents, ces zones se situe toutes dans des pays dans lesquels la situation est stable. La situation économique de ces pays est tout aussi stable et l’entreprise crée de l’emploi ce qui est donc bénéfique pour le pays comme pour l’entreprise Monin. Par exemple, le site en Chine permet de commercialiser les sirops Monin en Asie à moindre coût car les frais d’exportation vers ces pays est plus cher que de d’y installer une chaine de production. De plus, les associations de consommateurs ne s’opposent pas aux activités de Monin car les produits utilisés sont en accords avec les teneurs en pourcentage nécessaire de chaque ingrédient.
Économique :
Les hyper et supermarchés sont le premier circuit de distribution pour les sirops et concentre ainsi 71% des ventes, de plus le circuit « on Trade » ou CHR représente 6% des ventes totales car les ventes sur ce circuit sont extrêmement dynamiques et ont progressé de 10,3% en 2017. En 2020, les ventes représentent 380 millions d’euros en GSM pour un volume de 132 millions de litres. La production de sirop s’élève à 193 millions de litres en 2016 en sachant que 15% de cette production fut destinée à l’exportation dans différents pays. Les sirops revendiquant la neutralité enregistrent une croissance de plus de 10%. Enfin les ventes de sirops MDD stagnent a moins 0,5% alors que les signatures nationales chutent de plus de 6% en hyper, supermarchés, magasins de proximité et drive à la fin de février 2019 selon Nielsen.
Sur le long termes le nombre de consommateurs de sirops va augmenter et il y aura toujours du pouvoir d’achat dans ce domaine, c’est un marché qui n’est pas susceptible de s’écrouler et qui est même fiable sur le long terme.
Socioculturel :
D’un point de vue démographique, les zones dans lesquels l’entreprise Monin est installé sont idéales du point de vue des fortes densités de population. Les sirops restent une tendance indémodable, les enfants aiment, les sportifs, les étudiants, et bien d’autres catégories. Lors des périodes estivales la demande croit fortement avec l’ouverture des terrasses et cafés en plein air. Les innovations apportées par Monin sont tendances et crée un désir de création et de nouveauté chez la majorité des barmans des zones occupées. La fraicheur des sirops, les nouveaux gouts, et la possibilité de se rafraichir sans trop consommer de sucre et en ayant droit a des ingrédients de qualité attire tout le monde. D’un point de vue social, le sirop est indémodable mais peut néanmoins avoir plus d’impact grâce à de nouvelles innovations.
Technologique :
Tout d’abord Monin fait preuve d’effort pour réduire sa consommation d’eau dans ses usines et met en œuvre des solutions innovantes pour le traitement et la réutilisation de l’eau. L’objectif est de s’approvisionner en énergie renouvelable pour au moins 20% des besoins industriels d’ici à 2021.
Outre les sirops, Monin propose des mix fruits (une innovation Monin lancée sur le marché́ il y a plus de 5 ans), des sauces, des liqueurs, des bases pour frappés, des concentrés de limonade et de thé et même de smoothie. La gamme de produits permet aux clients de réaliser des cocktails avec ou sans alcool, d’aromatiser des desserts, des boissons chaudes : « Monin ne vend pas des produits mais des solutions ».
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