Business exploration, examen de rattrapage
TD : Business exploration, examen de rattrapage. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Laetitia Abou-Zaki • 23 Février 2023 • TD • 3 104 Mots (13 Pages) • 351 Vues
[pic 1] 14 mars 2022
BUSINESS EXPLORATION
Examen de Rattrapage
Rapport écrit
Année académique 2021-2022
Étudiante : Professeur :
Inès BOUKHSIBI P03 Nathalie BARTONE
Article 1 : Primark : Une journée dans le temps de la fringue :
Cet article a été écrit par Marie Le Tutour, pour « Une entreprise vue de l’extérieur ». Il a été publié en novembre 2018.
« Les rayons doivent être en permanence garnis, avec des vêtements bien rangés et pliés. Dans le même temps, il faut veiller à ce que les demandes des clients soient satisfaites. ». Dans cet extrait, nous comprenons que Primark met tout en œuvre afin de donner une bonne expérience aux clients dans le but de les fidéliser. Nous avons vu dans le chapitre 10 « Providing Value to Customers » combien il était important pour une entreprise d’avoir des clients fidèles. En effet, il est plus couteux de vendre des biens à de nouveaux clients qu’à des clients déjà fidèle. De plus, la fidélisation passe par l’écoute et le bon traitement ; ce que fait l’enseigne Primark.
« Cela nécessite une organisation fluide qui passe pourtant par un organigramme comprenant sept niveaux hiérarchiques ». Ici, la journaliste insiste sur le fait qu’il y ait très peu de niveaux. Nous avons vu ce fonctionnement dans le chapitre 4, cette structure est appelée : structure organisationnelle plate ; c’est-à-dire qu’il a peu de couches entre le directeur et le vendeur, chez Primark il y en donc 7. Cette structure est optimale pour communiquer puisque l’information passe alors par moins de personne, elle est donc transmise plus rapidement.
« Les effectifs du siège France se limitent à une vingtaine de personnes pour plus de 5000 collaborateurs dans le pays (…). Ce qui veut dire que tout est géré en magasin ou presque. ». Dans cet extrait, nous comprenons que Primark possède une organisation dite divisionnaire ; c’est-à-dire qu’elle est divisée en plus petites unités, ici 35, qui sont toutes autonome. Cette notion a été traitée dans le chapitre 4 « Managing for Business Success ». En effet, cette stratégie est plus utilisée par les grandes entreprises qui permet de faciliter leur organisation. Chaque magasin Primark peut alors s’adapter à sa propre clientèle, par exemple, le « visual merchandising » c’est-à-dire la vitrine est décidée sur site.
De plus, Primark est dite une marque « low cost » proposant des prix imbattables. Grâce à cet article nous comprenons que l’enseigne fait beaucoup d’économie afin de mettre des prix aussi bas. « Le groupe distribue rigoureusement les mêmes produits au même moment, dans les mêmes coloris et les mêmes motifs au sein des 350 magasins qu’il exploite actuellement dans 11 pays. » Cette stratégie permet, en effet, au groupe de demander des prix très bas. Mais Primark ne s’arrête pas là : « elle se contente d’employer une poignée de community managers qui animent sur les réseaux sociaux (…) » nous comprenons donc que l’enseigne utilise le Marketing digitale vue au cours du chapitre 11. Cette stratégie permet alors à la marque de limiter voire de supprimer totalement les frais publicitaires. Elle s’épargne également de frais de droit d’auteur car ne met pas de musiques dans ses rayons. Elles permettent également de ne pas avoir de restrictions géographiques. « Commander plus ce qui est écoulé ». C’est une autre stratégie menée par l’enseigne pour faire des économies ; nous avons étudié cette notion dans le chapitre 8. La production de masse permet donc de produire des volumes élevés de biens identiques à des coûts très faibles ; ce qui permet donc d’éviter les ruptures de stock. De plus, les produits sont livrés déjà étiquetés et pliés ce qui permet de continuer à faires des économies.
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Article 2 : MONOPRIX Trop fort ! Il nous fait oublier ses gros prix :
Cet article a été écrit par Sophie Lécluse, pour Capital. Il a été publié en février 2018.
« C’est le seul endroit où je peux acheter des 8h30 à la fois une paire de chaussettes pour ma fille et le pain de mie de mon fils ». Ce témoignage d’une cliente de Monoprix montre qu’elle apprécie particulièrement l’offre « mode-maison-loisirs » de l’enseigne. Nous avons vu ce type d’organisation au cours du chapitre 4 : « la division des produits ». Elle est souvent pratiquée par de grandes entreprises telles que Monoprix qui permet de diviser en unités le magasin ; ici le côté beauté, alimentaire, mode et décoration et de leur laisser de l’autonomie. Par exemple, les rayons modes sont examinés par des stylistes.
« Sa marge opérationnelle de 6% environ est deux fois supérieure à la moyenne de la grande distribution ». « Mais les ristournes sont ciblées sur quelques produits premiums appréciés de sa clientèle aisée ». Ces deux extraits montrent que la filiale de Casino, Monoprix, élabore des prix très élevés, voire parfois trop puisque « le prix est la première raison pour laquelle 87% des français ne mettent jamais les pieds chez Monoprix » afin de cibler une clientèle en particulier : les riches. C’est une stratégie que nous avons étudiée lors du chapitre 10 : c’est le prix de prestige. Elle consiste donc à mettre des prix élevés afin de donner l’impression aux clients que le prix est justifié par la qualité du produit. De plus, avoir des clients cibles est nécessaire et, ici, Monoprix a choisi de cibler sa clientèle sur des personnes qui ont les moyens de s’offrir ces produits. Le prix est une stratégie pour cibler les personnes aisées mais aussi le type de produit proposé tel que les sushis, les pulls en cachemire, …
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