La Charité
Étude de cas : La Charité. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar big_geo_14 • 20 Mars 2013 • Étude de cas • 556 Mots (3 Pages) • 604 Vues
La Charité a avancé vers le maintien en Nationale 2, samedi soir, après sa victoire devant Poligny (77-61) et la défaite de Saint-Dizier.
Cette fois, La Charité n'a pas laissé passer l'occasion offerte par le calendrier de se rapprocher du maintien en N2.
Victorieuse de Poligny (77-61), samedi soir, au centre sportif Georges-Picq, la formation ligérienne bénéficie, dans le même temps, de la défaite de Saint-Dizier à Cergy. Résultat, les Charitois, onzièmes, reprennent deux points d'avance sur le premier relégable. Et avec, leur programme à venir (lire encadré), les Nivernais devraient rester hors de portée des Bragards.
S'ils remportent leurs deux prochaines rencontres, ils pourront aller en Haute-Marne en toute quiétude, le maintien en poche. « Nous avons deux orteils en N2 », imageait, samedi soir, Nicolas Faure, l'entraîneur charitois. « Si nous gagnons à Saint-Denis, nous en aurons trois, et si nous battons Pfastatt… »
Samedi, face à Poligny, ses troupes ont mis un quart-temps (18-17) avant de trouver le bon tempo, la bonne défense. Au cours du deuxième quart-temps, il n'y avait qu'une seule équipe sur le parquet, qui cadenassait son adversaire, lui volait tous ses ballons, l'empêchait de s'approcher de son cercle, le poussant à tenter des shoots lointains hasardeux. Offensivement, en pénétration, en contres, ou sur la ligne, La Charité s'en donnait à c'ur joie. L'écart a rapidement pris de l'ampleur (+ 21 à la pause).
« Passage à vide »
« Je regrette notre fin de première mi-temps. Si tout le monde avait fait les efforts, nous aurions viré à + 27 au lieu de + 21 », maugrée le technicien, faisant référence à deux paniers primés pris sur la tête. « En deux minutes, nous encaissons plus de points que lors des huit précédentes (30-10, 48-27 à la pause). Il y avait vraiment moyen de tuer le match. »
Ensuite, « nous avons connu un autre passage à vide à cheval sur les troisième et quatrième quart-temps », déplore encore le coach. Durant lequel les Polinois, plus agressifs, privaient les Charitois, soudain muets, de solutions offensives. Alors que, de l'autre côté, Lissossi et l'intérieur Papiyon se trouvaient un peu trop facilement en position de shoots qu'ils ne rataient pas.
« Équipe en devenir »
Lors de l'ultime période, débutée à 66-50, les Nivernais se voyaient infliger un 8-0 en 6 minutes qui remettait les Jurassiens en selle, d'autant qu'ils semblaient incapables d'inscrire le moindre point. Palenik, puis Weber à longue distance, enfonçaient cependant le clou pour sceller la victoire.
Nicolas Faure appuie une nouvelle fois que le fait « qu'il faut que tout le monde adhère au projet club. Globalement, c'est bien, mais pour maintenir notre niveau d'intensité constant, il faut que tout le monde donne dès qu'il est sur le parquet. On s'en fout de savoir qui joue quatre ou trente minutes : l'important, c'est qu'à la fin, La Charité gagne ».
Samedi, pour la première fois de la saison avec un effectif complet de dix joueurs (Diancourt
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