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Un sens d'appartenance

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Par   •  30 Novembre 2020  •  Dissertation  •  1 243 Mots (5 Pages)  •  495 Vues

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Martin

Tera Martin

Prof. Mélanie Verreault

ETAU 1116FL 12

Le 19 octobre 2020

Ce qui vous définit

La vie moderne est contrôlée par un système gouvernemental qui exerce un

contrôle sur la vie de plusieurs individus, c’est aussi connu comme un mélange de bureaucratie gouvernementales qui influe qui nous sommes. Chaque être humain se compose « d’identité », qui se formulent en incluant ; ces croyances spirituelles, leur idéologie politique, sa communauté d’origine, sa citoyenneté, ces influences dans l’éducation, sa profession, leur passe-temps préféré et même leurs relations interpersonnelles. La population autochtone à leur propre identité, ils sont consommateur, inclus sur des listes gouvernementales et se compose d’une histoire qui explique ce qui forme l’identité autochtone, qui était impliqué dans l’identification autochtones au Canada, les relations d’identité et comment les autochtones sont identifiés.

Pour commencer, les autochtones consiste moins de 5% de la population canadienne, étant minorité de la population, il est important qu’ils partagent leurs voix et voter. La canada est un pays démocratique qui veux dire que chaque voix a une importance, peu importe s’il n’est personne minoritaire ou majoritaire de la population. Mais, c’est un principe valide seulement lorsque la participation est accomplie sans force. Par exemple, « le cas des peuples originels de l'île de la Tortue. Mise à part la reconnaissance très limitée de leur statut de peuples distincts — et cela seulement en 1982, dans le cadre du rapatriement de la constitution canadienne —, les définitions des identités des peuples autochtones ont dû être négociées avec une nation, le Canada, qui fut fondée unilatéralement sur des terres obtenues injustement. La série d'événements à la suite desquels les peuples autochtones, qui se composaient de plusieurs dizaines de millions d'individus en Amérique du Nord au moment où Christophe Colomb y est débarqué, sont devenus une minorité est une question qui exigerait un cours complet, ou même quelques-uns, pour recevoir une réponse tout à fait complète. »[1]Alors, il est important de reconnaître que les forces sociales, l’économie et l’idéologies appuie à l’extermination de la population autochtone. « Aux yeux des Britanniques, cette liste d'accomplissements devait être considérée comme un exemple du potentiel de l'humanité. »[2] Contrairement, les autochtones sont un obstacle de ressources économique et n’achève pas les critères de la société parce qu’ils ne possèdent pas des universités, un parlement, une église chrétienne, des industries ect. Un déclin drastique de la population autochtones se produit après diverses événements, par exemple, l’introduction de maladie inconnu par les Européens ou la signature de traités injustes qui affecte négativement la chasse et la trappe qui est une ressource économique essentielle au peuple. Les britanniques croient que les autochtones ne sont pas des personnes intelligents alors,  pour réglé le « problème indien » avec une système de classification ; la classification autochtone et non-autochtone s’évolue à Haudenosaunee, Déné, Siksika ect. Et, « Ces grandes catégories qui furent établies par le gouvernement canadien pour identifier les Autochtones se sont ancrées dans le discours gouvernemental et politique. Ces catégories définissent la manière dont les peuples originels de l'île de la Tortue peuvent parler des enjeux qui affectent leurs vies. »[3]

D’une part, le raisonnement derrière les préférences de termes et des catégories hyponymiques appuie à la « question d’identité autochtone. » Premièrement, le terme « Indien » est le terme officiel dans les documents gouvernementaux qui concerne toute affaires légales concernant le sujet des autochtones. Ce terme n’est pas approprié en contexte de la société seulement en contexte de gouvernance et la politique. « Le terme Indien représente donc une reconnaissance de leur statut non seulement de tribus ayant certains traits culturels, ou de « bandes », mais en tant que nations sur un pied d'égalité à toutes les autres nations dans le contexte politique international. Fogelson (1998) »[4] Deuxièmement, le terme « autochtone » est accepté par la majorité du peuple, cette appellation est politiquement correcte au Canada mais, « il n'est pas accepté aux États-Unis, basé sur le fait que toute personne née dans ce pays est autochtone, peu importe son origine raciale (Dickason, 2006, p. xi) »[5] Le terme « aborigène » décrit les indiens d’Amérique du Nord parce qu’ils évitent d’utiliser les termes « indiens » et « autochtones. » Pour ajouter, le synonyme d’Amérindien est Indigène, par exemple ; « le programme d'apprentissage indigène de l'Université Lakehead. »[6] Aussi, le terme « métis » représente le peuple Canadien ; « l'appellation Métis ne se limite plus aux Autochtones d'ascendance française ; elle fait maintenant référence à toute personne d'ascendance mixte autochtone et non autochtone (généralement) blanche.»[7] Et, le terme « Inuit »  aussi connu comme des « eskimos » s’origine de l’arctique, les inuits ont subis de la discrimination contre l’éthique de la société, le gouvernement les identifiais par numéros sur un disque, connu comme « disques des eskimos. » Dernièrement, le terme « Amérindiens » regroupe les quatre groupes Amérindiens Canadiens, ce terme est devenu en évidence après que PM Elliot Trudeau a commencé la constitution canadienne, les chefs des tribus ont battus pour recevoir leurs propres droits dans la constitution ; « la politique indienne du gouvernement du Canada de 1969. »

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