Analyse d'un documentaire sur la COVID / Vaccins
Étude de cas : Analyse d'un documentaire sur la COVID / Vaccins. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mariadupont2 • 11 Janvier 2022 • Étude de cas • 1 932 Mots (8 Pages) • 488 Vues
La première thématique est que l'État nous prive de nos droits fondamentaux. Il y a un contrôle de la société. Le documentaire consolidera cette idée à travers différents arguments.
Pascal Trotta (Nutrissionniste, radiologue) dira que pour nous sauver la seule solution trouvée a été de nous priver de nos libertés. Il compare cela à « un charlatan que l’on aurait mis en taule ». Les intervenants vont adopter un vocabulaire qui va comparer le confinement à une horrible prison. Natalie Dervaux (Sage Femme) dira « même les prisonniers ont plus de droit ».
Martine Wonner (Psychiatre et députée) dira que la démocratie a été bâillonnée et que nous sommes maintenant sous l’emprise de ceux qui la dirigent.
Carole Brussa (avocate) nous dit que Macron a pris le goût du pouvoir arbitraire : en effet il décide de faire le premier tour de l’élection des maires alors qu’il sait que le deuxième tour n’aura pas lieu. Cela est donc une transformation de la constitution.
Le documentaire évoque également la thématique de la peur. Les médias, depuis que le covid est arrivé nous font peur à travers différents sujets et de différentes manières avec pour un objectif selon le documentaire : la soumission.
Michel Levit (Boiphysicien, Chimiste et prix Nobel en Chimie) se désole que la population scientifique ne se soit pas réunie pour trouver une solution. Il va cependant relativiser sur la situation du covid, ce que l’État n’a pas fait. Il rapporte donc que pour d’autres maladies telles que la grippe pour Ebola, on n'a pas forcément écouté les scientifiques et que c’est une bonne chose. Que le profil des personnes mortes est tout simplement les personnes qui ont le plus de chance d’avoir une mort naturelle. Il se pose également la question de ce qu’il pourrait se passer si on laissait un endroit infecté sans rien faire. Et il va donner la réponse à cela. Il nous explique que sur un bateau de croisière de 3700 passagers ou le virus circulait il n’y a eu que 20 % des gens infectés c’est à dire 700 et que sur ces 700 seulement 7 sont morts. Le covid n’est donc d’après lui pas si mortel. On compare également le coronavirus à la grippe espagnol et on minimise encore une fois les effets du covid-19.
On nous dit donc que le virus le plus contagieux est celui de la peur. Macron utilise les termes « Nous sommes en guerre ». Le dirigeant utilise la métaphore du guerrier et c’est un abus d’autorité. Le virus n’est pas un ennemi d’après l’interlocuteur, il est fait pour cohabiter avec nous. Monique Piton (sociologue) appuie également que les médias jouent sur la peur : le même discours est présent sur toutes les chaînes de télévision. On nous dit que son voisin peut être contaminé, on doit avoir le visage caché, faire attention à tout. On va jusqu'à mettre des policiers avec une arme pour vérifier qu’on a notre masque, cela n’était même pas le cas pendant les attentats. Pour elle c’est inimaginable de vivre dans cette propagande de la peur.
Michael Yeadon (ancien directeur de la recherche chez Pfizer) déclare que beaucoup de tests PCR sont faux. Il nous dit « qu’il sait de source sûre », ou « quelqu’un m’a dit l’autre jour » sans jamais en évoquer une vraie source qu’ils ont inventé ces tests pour maintenir le monde effrayé. Lui dit être plus effrayé par le gouvernement que par le coronavirus. Silvano Trotta lui-même dira que les tests français sont plus sensibles que dans les autres pays pour faire peur à la population.
Le documentaire met en effet en avant la thématique du mensonge. Le gouvernement nous mentirait sur une multitude de sujets afin de nous manipuler.
On nous mentirait donc sur la nature du virus. Alexandre Adler, en 2005, nous parle d’un rapport secret de la CIA « Le déclenchement possible d’une pandémie mondiale ce sera sans doute en Chine. Un virus H5N1 augmentant les chances de mutation d’une souche susceptible de provoquer une pandémie. La maladie tardait à être identifiée... Il faudrait des semaines pour que les laboratoires fournissent les résultats définitifs, confirment l’existence d’une maladie risquant de muter en pandémie. En dépit des restrictions, des voyageurs présentant peu ou pas de symptômes pourraient transporter le
virus sur les autres continents. L’absence d’un vaccin efficace ou d’immunité dans le reste du monde exposerait les populations à la contagion. Les pertes économiques à l’échelle mondiale entraîneraient l’infection d’un tiers de la population du globe et la mort de centaines de millions d’êtres humains. » Tout serait donc prévu depuis longtemps.
En 2010, David Rockefeller, spécialiste d’écriture de scénarios apocalyptiques, avait également prévu une pandémie.
On va également évoquer Billes Gates en nous disant que ce géant de l’informatique veut vacciner toute la terre. Lors d’une conférence TED, il compare le virus à une bombe atomique. Cela choque les intervenants du documentaire. Aurait-il tout prévu d’avance ?
On nous parle également de Jacques Attali, président de Positive Planet, on parle de lui comme le comploteur de la guerre bactériologique.
En 2009, les sénateurs vont dénoncer une fausse pandémie : l’OMS est soupçonnée d’avoir inventé une pandémie (H5N1).
C’est le 5 décembre 2018 qu’une loi pour le confinement est votée en France alors que le virus commençait seulement à apparaitre à Wuhan.
Les dirigeants ne nous ont également jamais donné de véritable explication sur l’origine du virus : un pangolin ou une chauve-souris serait la cause de tout. Luc Montagnier (prix Nobel de médecine) nous parle d’un cover up général. On cache l’origine de ce virus. Le sort de toute épidémie est qu’elle arrive et finit par diminuer.
En 2003, un dépôt de brevet a eu lieu et en 2015 on a fait des textes pour que covid 19.
Certains intervenants du documentaire sont donc convaincus de l’origine humaine du coronavirus. Pour
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