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Les effets du sport sur notre bien être

Thèse : Les effets du sport sur notre bien être. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Juin 2013  •  Thèse  •  1 164 Mots (5 Pages)  •  1 342 Vues

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Les effets du sport sur notre bien être

Thèse : Le sport a certes énormément de bien faits sur notre physique et ceci a été prouvé plusieurs fois dernièrement. Cependant le sport à des bienfaits non seulement physique mais psychologique, varie d’une culture à une autre, d’un milieu social à un autre et a un symbole plus ou moins diffèrent dans chaque société.

- Source n*1 - vidéo : Les effets de l’activité physique sur la sante (2011-12-14) http://www.youtube.com/watch?v=1fg9G3iX5Ns :

Résumé : - L’activité physique a des effets considérables sur la santé (d’après des recherches) : tant sur le physique que sur le mentale

- Bien-être social et 1 bonne estime de soi peut aussi aider à prévenir plusieurs maladies

- moins fatiguer, plus concentrer au travail

- L’activité physique ne se limite pas à faire de la musculation avec des grosses machines ou d’aller courir on peut faire du sport par exemple en allant jouer dehors ou en jouant a des jeux vidéo qui demande des mouvements.

- 30 à 60 minutes d’activité physique à intensité moyenne seraient suffisantes par jour.

- l’activité physique vous permet de vous amuser, d’acquérir des compétences sportives, de lutter contre la solitude et de mieux s’entendre avec les autres dans des activités de groupe.

. Source n*2 – article : Point de vue anthropologique du sport. (Contre-pied N*23 : La compétition et l’EPS > Regard> supplément électronique- MARS 2009)

http://www.contrepied.net/telecharge/annexes/SuppCP23_Genereux.pdf

Résumé :

- L’être humain n’est ni un compétiteur agressif ni un coopérateur ne, il participe au deux.

- Durant notre évolution pour maintenir cette équilibre entre ces 2 aspects nous avons créé et développer des moyens de communication, des rites et des modes d’organisation sociale, des aptitudes a la coopération, a une vie commune très sophistiquées. Tout ceci nous a permis de refouler notre instinct de d’agressivité qui est souvent destructeur mais nécessaire au développement normal de l’être humain.

- Prenons l’exemple d’un groupe d’enfants d’une école primaire en train de jouer au ballon prisonnier : Au tout début chaque enfant veut avoir le ballon pour lui-même et en non présence d’un adulte, qui symbolise la et la norme dans l’activité, le jeu va vite tourner a une bataille généralise. En présence de l’adulte cette agressivité va se décharger par d’autres aspects comme des prouesses qui peuvent produire un plaisir chimique au niveau du cerveau.

- Les enfants découvrent que le but ce n’est pas d’être en possession du ballon tout le long du jeu mais d’au contraire pouvoir tous ensemble le convoiter, le posséder, le perdre, le reconquérir encore, de courir tous derrière le même objet.

- La chose importante dans le sport c’est le fait de devenir vulnérable a tout moment c’est-à-dire dépossède de l’objet voulu et qu’il faudra faire un gros effort pour le reconquérir. Ce qui nous ramène a la vie de tous les jours, le mélange de frustration, d’excitation et de satisfaction qui réalimente la vie.

- Au cour de toute son histoire les sociétés humaines ont utilisé le sport et le jeu pour détourner l’agressivité et compétition, à cause de leurs effets dévastateurs, vers des modes d’expressions symboliques, vers des objets de grandeur symbolique qui ne portent aucune conséquence.

- A l’époque des chasseurs cueilleurs le gagnant n’était récompensé que d’une médaille, des honneurs ou d’une éventuelle gratification sexuelle. Tandis que de nos jours le sport moderne est devenu une compétition entre les entreprises capitaliste qui veulent les meilleurs profits, ce qui entraine une grande compétition salariale entre les sportifs eux-mêmes.

- Le sport est aussi une forme de rivalité intelligente qui produit de l’agressivité mais encourage l’épanouissement de la personne dans une activité créative. Cependant on introduit trop souvent la maximation du bénéfice et du salaire et l’obligation de résultat et ceci a un impact négatif car les gens ont tendance a vouloir gagner plus que participer.

- Ainsi les clubs riches recrutent les meilleurs pour maximiser leurs avantages et finissent indirectement la véritable compétition à

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