Le sport miroir de notre société. Pourquoi faire du sport à l'école ?

Thème : Le sport miroir de notre société

Pourquoi faire du sport à l’école ?

L’école est au cœur du débat sociétal depuis quelques années déjà notamment sur le changement de rythme à l’école et cela dans beaucoup de pays. La question qui ressort est : Doit-on augmenter les heures de cours en école primaire ? En France, douze heures peine après sa nomination Vincent peillon(ministre de l’éducation nationale) ressoulève le débat dans l’une de ces déclarations en annonçant que dès la rentrée de 2013, certains primaires travailleront de nouveau 5 jours par semaine.Après avoir démontré les biens faits du sport à l’école, nous verrons aussi que le sport à l’école peut conduire à des dérives.

Le sport est bon pour la santé et bon pour l’esprit surtout chez les adolescents qui n’ont pas forcement conscience de ce qu’ils mangent, on peut donc éventuellement éviter le risque d’obésité grâce à ceux là et favoriser le développement d’une bonne image de soie. Il permet également aux enfants de s’épanouir tout en développant au fur et à mesure une réflexion personnelle sur la place de l’individu dans la société, et donc en référence au récit de Montherlant sur la conscience de sa place et de sa valeur, et la connaissance de soie car cela pousse à apprendre à connaitre ses qualités et défauts. L’éducation sportive permet aussi aux enfants d’exprimer leurs joies de vivre tout en apprenant certaines règles de vie en commun (l’abnégation de soie au profit du collectif, toujours en référence au récit de Montherlant) ce qui favorise le respect des règles fixées à l’école. L’éducation scolaire favorise aussi le développement de qualités humaines nécessaire à la pratique du sport aussi bien qu’à la vie en société hors du cadre scolaire et donc favorise également la mixité. Prenons l’exemple du football qui est un sport qui apparait comme un moyen d’apaiser les tensions social en offrant à la jeunesse des perspectives d’avenir, il permet effectivement de résoudre certains problèmes sociaux.

Mais cependant il reste trop axé sur la réussite individuelle et ne permet pas de développer une véritable solidarité fondée sur le sport compte tenu du manque de soutien officiel aux initiatives les plus sociales. De plus la concurrence exacerbée peut conduire à un surentrainement précoce dommageable au niveau physique et psychologique chez les jeunes et d’autant plus face à une pression parentale à la maison. L’élève se retrouve alors surmener à la fois à l’école et à la maison, et ce surmenage peut parfois pousser l’élève à tricher et à trop rester axé sur le sport, plus assez dans les autres cours et cela dû à une extrême auto-identification du sport pratiqué par l’élève. Le sport peut augmenter le manque d’hygiène à l’école car l’élève n’a pas forcement le temps de prendre une douche après l’éducation physique (exemple : un élève qui se change pour faire du sport et après sport remet les vêtements portées avant le sport pour aller en cour).

On se rend bien compte que le sport à l’école contribue à l’éducation de l’élève, il est donc jugée utile pour l’individu et pour la vie en société car cela pousse l’élève à l’acceptation

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