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Le cyclisme

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Par   •  25 Janvier 2017  •  Thèse  •  3 176 Mots (13 Pages)  •  829 Vues

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TPE : Le cyclisme

PS : Tout ce qui est en orange c’est du copier-coller, qui est à reformuler.

                                  en bleu c’est des petits trucs que on pourrait faire.

Introduction :

La nature humaine fait que chaque homme essaye de se distinguer des autres, les performances sportives sont un moyen pour un homme de développer sa notoriété en vue de se distinguer dans la société. Pour acquérir cette notoriété l’homme doit donc s’entraîner afin de développer sa masse musculaire, il doit adopter un régime alimentaire varié et sain et des conditions de vies saines qui participent à l’amélioration des performances physiques. En effet c’est le cas du cyclisme, un sport très exigeant ou l’endurance est indispensables.

La popularité de ce sport ainsi que sa médiatisation toujours croissante, notamment grâce au Tour de France qui réunit chaque année près de 20 millions de spectateurs et de téléspectateurs, ce qui fait le 3ème événement sportif le plus regardé au monde. Ce qui a conduit les différents acteurs de ce sport à innover pour permettre aux coureurs de repousser les limites et de battre des records. Pour cela on a observé durant ces 40 dernières années des avancées tactiques et technologiques. Toutefois, l’homme a des capacités qu’il ne peut pas dépasser, c’est pour cela qu’il peut avoir recours à des pratiques illégales comme le dopage qui permet à ses consommateurs de se dépasser physiquement et intellectuellement.

Des lors, nous pouvons nous interroger sur les différentes méthodes qui permettent à un cycliste d’améliorer ses performances. Dans un premier temps, nous parlerons des facteurs du cycliste qui visent à améliorer ses performances, puis dans un deuxième temps nous verrons que les avancées technologiques jouent également un rôle majeur, puis pour finir nous étudierons les dopants et leurs conséquences dans les performances des cyclistes.

I-L ’énergie humaine.

A) Transformation d’une énergie humaine en une énergie mécanique.

        Pour que le vélo puisse se déplacer, comme tout système mécanique, il lui faut une source d’énergie et c’est là que l’énergie humaine entre en jeu. Le mouvement des jambes, qui grâce aux muscles, vont créer un mouvement de rotation qui va permettre un mouvement des pédales, puis de la chaîne pour pouvoir aboutir à un mouvement de la roue, va permettre au vélo de se déplacer.

Ce transfert est causé par le mouvement du haut du talon qui s'enfonce, pousse en avant et vers le bas pendant que l'autre pied, à l'inverse, juste avant le point bas, amorce la remontée en relevant le talon vers le fessier avant de basculer de nouveau vers le bas, l'axe de rotation étant la cheville. Pour cette dernière action, c'est en fait le genou qui en remontant, et que l'on propulse mentalement et physiquement vers le haut, permet au talon de se relever naturellement, avant d'amorcer de nouveau la descente, le talon pointant légèrement vers le bas. Ce mouvement agit ainsi directement sur les pédales et la chaîne en y engendrant une rotation.

Je vais me débrouiller pour faire une maquette avec un vélo qui me sert a rien, pour expliquer directement, ça fait toujours une expérience en plus. Un peu comme le schéma qu’il y a en dessous mais en vrai.

[pic 1]

Ainsi, la chaîne et le pédalier sont 2 éléments essentiels à la transformation de l'énergie humaine en énergie mécanique étant donné qu’il s’agit de la zone de transferts des énergies. De plus, la roue subit trois forces, le poids, la force de frottement du pneu sur le sol et la projection de l'effort d'avancement du pignon sur le sol. Lorsque l’énergie mécanique est suffisante pour vaincre le poids et la force de frottement, elle donnera une force horizontale suffisante pour faire avancer le vélo.

Le vélo est donc bénéfique étant donné que lors d’un fonctionnement approprié il permet une extrême efficacité grâce à un gain de puissance ainsi qu’une économie musculaire lors d’un mouvement sur une distance plus élevée.

On peut également constater que la puissance d’un cycliste (en watt), est extrêmement importante car elle mesure l’effort effectué par ce dernier sur une durée de temps précise ainsi que la limite de son endurance. En effet, elle est très utile et c’est un avantage pour le compétiteur et son entraineur de la connaître car elle permet de savoir sur quels facteurs le cycliste doit progresser, et donc permettre une meilleure qualité à l’entrainement et une analyse de la course plus poussé.

C’est pour cela qu’une majorité des cyclistes professionnels sont équipés de pédalier SRM permettant une mesure exacte de la puissance de telle sorte à optimiser leurs efforts. D’un côté il donne la possibilité au coureur de mieux gérer ses efforts lors d’attaques, d’échappées ou simplement de maintenir dans le peloton. Son utilisation s’avère en outre très efficace lors d’épreuves de type contre-la-montre, exercice où la performance se joue à la seconde près et pendant laquelle la gestion de l’effort doit être extrêmement précise et calculée.

C) Optimisation de l’énergie humaine.

1) L’entrainement.

En effet, pour optimiser son énergie, le cycliste s’entraîne durement. Nous détaillerons les différentes étapes que le cycliste suit ainsi que les qualités et les contraintes que cela engendre.

Tout d'abord, le cycliste doit travailler son endurance, car il sert de base au développement des autres qualités dans toute les préparations. Elle améliore les qualités de récupération indispensables pour enchaîner les entraînements et les compétitions.

Ensuite le cycliste doit développer ses qualités pour en faire des atouts. Ceux-ci doivent se faire de façon chronologique pendant la période de préparation pré compétitive. Premièrement le cycliste doit travailler son endurance de base (vélocité), puis son endurance critique basse et haute (vélocité et force), sa puissance (vélocité, force, puissance), et enfin se consacré à) son travail en lactique (puissance). En ce qui concerne la préparation des objectifs durant la saison, la même chronologie doit être respectée. Par exemple, trois semaines avant l'objectif il faut travailler la vélocité (faire beaucoup de kilomètre), puis deux semaines avant l'objectif le cycliste doit améliorer sa force et sa puissance (avec une allure soutenu), et pour finir la dernière semaine il doit surtout travailler sa vélocité et sa puissance (avec des changements de rythme).

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