Le Sport, Facteur D'intégration ?

En France il y’a de multiples facteurs d’intégrité. Aujourd’hui nous entendons souvent parler d’intégration, c’est un sujet très utilisé par les hommes politiques et nous allons nous concentrer sur la question du sport. Le sport est-il un facteur d’intégration ? En quoi pourrait-il en être un ? Il y aurait-il des limites à cette intégration ? Afin de répondre à cette problématique, nous traiterons notre sujet dans trois grandes parties, la première définira rapidement l’intégration, la seconde montrera les différentes choses qui peuvent faire du sport un facteur d’intégration et la dernière les limites de cette intégration.

L'intégration permet au lien social de se renforcer. L’intégration est un processus de rapprochement entre une personne ou un groupe de personnes et un autre groupe de personnes. Elle passe par la socialisation : les individus assimilent les valeurs, les normes et les croyances de la société. Cet apprentissage se déroule tout au long de la vie : la famille, l'école, les groupes d'âge ou les relations professionnelles. Mais ce n’est pas parce qu’un individu est intégré au sein d’un groupe, qu’il l’est forcément à la société toute entière ou à d’autres groupes (par exemple, un jeune garçon intégré à un club de sport peut être mal intégré dans un autre groupe comme un groupe de musique).

Le sport est devenu un des moyens de la socialisation. Nous allons donc voir si cela signifie qu’il est aussi un moyen d’intégration

Nous allons ici voir les cas où le sport est un moyen d’intégration.

Premièrement, le sport est utilisé par la politique comme outil de propagande. Comme nous avons pu le voir en classe, le sport a autrefois été utilisé comme campagne politique comme aux Jeux Olympiques de Berlin en 1936 où un athlète est considéré par le public nazi comme supérieur, ces derniers font le salut nazi.

En deuxième lieu, le sport est bénéfique par sa pratique : c’est souvent un plaisir qui se partage. Il se pratique le plus couramment en équipe et procure un développement collectif. Car en pratiquant un sport, on adhère à une association sportive pour partager une passion commune, lors des entraînements, des compétitions ou des manifestations sportives. De plus le sportif n’est jamais seul ; il est entouré des spectateurs, du staff d’encadrement, de ses coéquipiers et évidement de ses adversaires. Le sport permet les rapports aux autres : l’échange, le respect d’un adversaire, d’un arbitre, d’un entraineur, ou encore d’un public. Il permet donc d'apprendre à se mesurer à soi et aux autres. Toutes ces raisons montrent pourquoi on peut s’appuyer sur le sport pour rechercher l’intégration.

Mais il serait faux de dire que le sport n’est qu’un moyen d’intégration. En effet, il présente aussi des limites à cette intégration en se rapprochant du terme « discrimination ».

Le sport est, ou a été, malheureusement un objet de lutte pour les différentes catégories de personnes qui vivent dans notre société.

Les femmes sont de plus en plus nombreuses à pratiquer des activités physiques, cependant, même si elle augmente, la pratique féminine licenciée, reste nettement en retrait par rapport à celle des hommes.

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