Synthèse prison cas

Introduction :

Nous étudierons les prisons,  en quoi les prisons ont elles inspirées les artistes ? Nous nous servirons de différents documents, comme Le dernier jour d’un condamné, Chapitre X, Editions Hatier, 1829 de Victor HUGO, en second « les vertus de l’humanisation », Les prisons, Editions Flammarion, Collection Domino, 1994 de Jean FAVARD. Le troisième est un article « Pénitentiaire (traitement) », Encyclopaedia universalis, 1996 de Robert SCHMELCK. Le document 4 est un dessin de Marc-Antoine Mathieu  provenant de Paroles de taulards, « L’incarcération », Edition Delcourt, publié en 1999. Et enfin, le dernier document, « Les prisons de la honte », Le Nouvel Observateur, 20-26 janvier 2001 de Jean DANIEL.
Dans un premier lieu nous étudierons l’incarcération et enfin l’évolution des prisons.

Développement :

1. L’incarcération

Les prisons ont différents enjeux essentiels, le fait de la réflexion, la protection de la population et les changements radicaux de certaines personnes.

1. Réflexion en prison

La prison incite les détenus à réfléchir sur leurs conséquences de leurs actes. Cependant pour certains cet enfermement n’est pas bénéfique, dans le texte de Robert SCHMELCK, la condamnation est signe de changement radical. Avant, on pouvait penser qu’être enfermé pouvait donner une meilleure réflexion au prisonnier, qu’il s’améliorerait moralement mais ce ne fût le cas. A cause de l’emprisonnement, quelques-uns étaient devenu plus endurcis qu’à leur entrée dû aux règles strictes qui étaient mise en place par les autorités pénitentiaires. Ce régime ne contribuait pas tout bonnement au bon équilibre et bon maintien de la vie quotidienne de ces détenus. L’enfermement a cependant inspiré quelques artistes, car le fait d’être d’un régime rigoureux, certains ont réfléchis de différentes manières. Pour occuper leurs journées, quelques condamnés écrivaient ou réfléchissaient à leur avenir en sortant de cette prison.

1. La sécurité de la population dehors

Le mot d’ordre d’avant et encore aujourd’hui est sécurité, principalement la sécurité de la population en dehors de ces prisons. Si autant de détenus sont enfermés c’est qu’ils ont commis des fautes graves qui sont punis par la loi. Pour sécuriser cette société il faut priver de liberté les délinquants, pour qu’ils aient la peur d’une nouvelle condamnation. Le but de l’enfermement est de protéger la société contre les criminels, texte de Robert SCHMELCK. Pour protéger au mieux les habitants, la meilleure solution était que l’arrêté soit préparé à une nouvelle vie à sa sortie en se rendant utile, en lui formant de nouvelles habitudes à exécuter pour se comporter comme un être digne de confiance.

1. Le changement de vie

La détention, change une personne cela peut être positivement ou négativement.  Quand on est incarcéré, on peut oublier notre liberté qu’on avait en société c’est un tout autre monde. Nous sommes forcés de cohabiter avec tout autres types de personnes qui viennent de milieux différents du notre. L’emprisonnement fait un tout nouvel Homme. Certains vont  tant bien que mal essayer de se racheter une conscience morale et ainsi donner une nouvelle image d’eux à la justice en se rendant utile, en suivant des formations comme nous le montre le texte de Robert SCHMELCK. Dans le dessin de Marc-Antoine Mathieu on nous montre qu’à l’intérieur des prisons c’est une toute nouvelle vie qui commence. On est totalement démunis de tous nos biens, un système de rigueur s’installe ce n’est plus nous qui dictons nos propres lois, on doit se plier au fonctionnement sous l’autorité pénitentiaire. Quelques bagnards vont sortir de prison plus fort qu’avant avec encore plus de haine contre la justice tandis que d’autres ayant la peur d’y retourner se tourne du bon côté et se redonne une image favorable auprès de la société. En revanche malgré l’enfermement et la monotonie du quotidien certain ne peuvent se préparer à une future réinsertion dans la vie extérieure.

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