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Sujet d'imagination : sentiments

Fiche : Sujet d'imagination : sentiments. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  23 Mars 2021  •  Fiche  •  341 Mots (2 Pages)  •  948 Vues

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Sujet d’imagination

Exemple n°1

Je marchais dans le salon quand mon ami vint tout à coup ; je devais lui dire la vérité….

Les battements de mon cœur devinrent de plus en plus intenses. Comment lui dire ? Il me regardait

tout en souriant, tandis que moi, je demeurais immobile face à lui. J’avais lu des livres où le héros

n’osait pas révéler la vérité, comme dans un secret. Ce sentiment tout nouveau était horrible à

supporter. Je ne savais pas comment en finir, je ne savais pas quelle réaction il allait avoir. J’avais

peur. Cette peur était insoutenable, je ne pouvais plus mentir. Si seulement rien de tout cela n’était

arrivé….

Mon ami, lui, est toujours là, toujours en train de me fixer, toujours en train de sourire.

Soudain, plusieurs questions me vinrent à l’esprit. Et s’il ne me pardonnait pas ? Et s’il ne m’adressait

plus jamais la parole ? Devrais-je vraiment lui dire ? J’allais ouvrir la bouche quand il prit d’un coup

la parole :

« Je peux encore attendre » me dit-il.

Attendre quoi ? Je le fixais les yeux écarquillés. Et s’il savait déjà ce que je voulais lui révéler ? J’étais

réellement effrayée. Pas une petite peur comme la peur d’un enfant qui a peur du noir ; non, j’avais

peur de perdre définitivement cette personne. Pourquoi lui avoir menti alors ? Si je tenais vraiment à

lui…

Je le laissai dans le salon et partis écrire une lettre, cette lettre aurait pour but de tout lui dire tout en

pouvant réfléchir aux bons mots, les mots justes. Mon ami, lui, ne comprenait pas ce que je tentais de

faire depuis une heure. Une fois la lettre terminée, je descendis et la lui donnai. Il la prit, et l’a lu à

haute voix. J’avais tellement honte de moi, mon nœud dans le ventre se nouait de plus en plus fort.

Des larmes coulèrent le long de mes joues. Je fus coupée dans mes pensées lorsqu’il prit la parole et

me dit : « Ce n’est pas grave » avec un sourire bienveillant.

Le nœud dans mon ventre se desserra alors d’un coup. Mes larmes aussi s’arrêtèrent de couler……..

...

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