Résumé La Guerre Des Boutons
Cours : Résumé La Guerre Des Boutons. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mini.rouby • 21 Février 2015 • Cours • 319 Mots (2 Pages) • 2 844 Vues
Chaque année, les écoliers de Longeverne et ceux de Velrans sont en guerre. Une guerre particulièrement mouvementée l'année où les troupes rivales sont commandées, pour Longeverne, par le grand Lebrac et pour Velrans par l'Aztec des Gués. Quand, après la première bataille, les Longeverne font un prisonnier, Lebrac a l'idée de faire rosser le prisonnier par ses propres parents : On lui arrache tous ses boutons et on lui garde ses bretelles et sa ceinture. Le résultat est si brillant que l'adversaire en fait autant, et bientôt sur la personne de Lebrac en personne. La solution consiste donc à se battre tout nus, mais cela comporte trop d'inconvénients (piqûres de ronces et d'orties, bronchites, etc.) et il faut recourir au petit commerce (de champignons, d'écrevisses, de vipères) pour payer les dommages de guerre. La guerre prend de l'ampleur, avec cavalerie et tracteur, ce qui ne va pas sans réactions des parents, qui mettent les deux capitaines dans le même pensionnat : la réconciliation est inévitable.
Un hymne peut être un chant religieux à la gloire de dieu, un poème lyrique ou encore un chant représentant une nation, un groupe. Ce film est l’empreinte d'une fraîcheur, d'un dynamisme et d'un humour spontané, enfantin, presque naïf et jamais convenu (sauf, peut-être, la scène où le père L'Aztec fait boire Tigibus). La "Guerre des boutons" se confine à un univers strictement masculin. Lebrac n'est pas autant mis en avant que Tigibus ("Si j'avais su j'aurais pas venu"), et c'est donc la jeunesse qui constitue le véritable héros du film. La guerre, la vraie, est représentée ici de manière non violente, à travers des querelles enfantines. Les enfants sont l’âme du film, la chanson phare du filme représente exactement un hymne à l’enfance. D’une part à travers cette forme de non-violence, les enfants ne représentent pas la violence. D’autre part les adultes sont dénigrés « aussi bête que les grands ».
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