Quand je pense à la poésie
Dissertation : Quand je pense à la poésie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar dissertation • 10 Avril 2013 • Dissertation • 1 202 Mots (5 Pages) • 650 Vues
Quand je pense à la poésie, je pense aux petits poèmes aux colonnes avec beaucoup de lignes en vers. Ce n'est pas toujours le cas. Il y a plusieurs types différents de la poésie. On a la poésie en anglais, en français, et les autres langues qui est tout a fait diversifiée. Les poètes écrivent la poésie aux dessins compliqués sur la page ou ils emploient la rime. Cette poésie est relativement facile à comprendre ou à analyser. Mais, la poésie d’autres poètes est un peu différente. Il est nécessaire qu'un lecteur lise analytiquement ces formes de la poésie. Un bon exemple de ce type divers de la poésie est la poésie de Francis Ponge. On y trouve un style distinctif. Cette poésie ressemble une petite histoire descriptive qu'un poème. Il y a des thèmes predominants tels que l'ironie et la personnification. Plusieurs choses restent constantes dans le monde littéraire. Pluie est un poème exceptionnel qui représente le style poétique de Ponge.
En général, le poème a des qualités distinctes. Le poème apparaît sur la page comme les paragraphes d'une histoire en prose. Il n'y a pas de colonnes ou de strophes, sauf des paragraphes, qui ont la ponctuation normale. Le rôle de l'écrivain est le narrateur pendant tout le poème et ce narrateur est aussi la voix du poème. Il représente les deux dans ce poème. On sait ce fait lorsque que le poème commence par, <<…je la regarde…>>. Ponge et le poème s’adressent au monde ou à un lecteur. Je ne crois pas que Ponge dirige le poème à quelqu'un spécifique. C'est semblable à un commentaire pour tout le monde ou pour ceux qui écouteront à la description. On découvre que le poème est un poème descriptive au début. Cela continue jusqu'à la fin.
Il y a quatre divisions dans Pluie. Dans la première partie du poème, Ponge décrit la pluie par utilisant beaucoup de descriptions visuelles. Une image concrète commence à développer avec ces descriptions. La pluie gagne le comportement et le mouvement dans cette paragraphe. Ensuite, dans la deuxième partie le narrateur analyse les allures de la pluie. Dans la troisième partie nous apprenons les bruits de la pluie. Finalement, la quatrième partie discute la disparition de la pluie à cause du soleil. Chaque partie ajoute au flot en décrivant les caractéristiques de la pluie. En commençant par le premier paragraphe, on peut trouver des idées intégrales qui contributent au flot du poème.
Plusieurs idées importantes se développent dans la première partie. Les allures et les gouttes sont des exemples de ces idées. Le poète donne au lecteur des morceaux du poème qui commencent l'action en utilisant ces allures comme un point de départ. Ces allures deviennent très importantes parce que les autres descriptions de la pluie prennent une forme à cause de ces allures. Les descriptions au poème développent avec le mouvement de la pluie. Une cour est la scène du poème où Ponge commence à raconter les images de la pluie, comme un narrateur. On a une description de la pluie pendant qu'elle tombe. Il discute le comportement de la pluie en décrivant les allures. Il y a une description d'un rideau ou d'un réseau au centre de la cour. Il décrit les allures avec beaucoup d'adjectifs compliqués. Il se réfère au rideau (ou la pluie) comme une chute. La chute est discontinue, relativement lente, légère et sempiternelle, sans vigueur. Tous les mots donnent la cour un état calme. C'est un peu ironique. Il y a de l'action parce qu'il pleut, mais la cour reste calme et paisible. La pluie garde ce calme avec les allures. Les allures et les mouvements de la pluie servent d'un agent hypnotique.
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