Michel Quint, effroyable jardin
Commentaire d'oeuvre : Michel Quint, effroyable jardin. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar lulu02000 • 7 Janvier 2018 • Commentaire d'oeuvre • 2 207 Mots (9 Pages) • 1 733 Vues
michel Quint :
Ne le 17 novembre 1949, Michel Quint n’a jamais quitter sa region natale ou il habite encore avec sa femme brigitte
Michel quint a eu une scolarité banale , après l’obtention de son bac de philosophie a roubaix, il decide de passer une licence de lettre classique et une maitrise d’etude theatrale .
Il devinent apres professeur en premier lieu il es professuer de lettre clasique puis de theatre .
En memetemps de son travalie de prof il decide d’ecrire , il commence par ecrire du theartre dramatique ( comme par exemlples ) il ecrit ensuite des feuilletons pour France culture grace a ceux-ci il recu en 1986 le prix des nouveau talent de sa radio ce n’est quapres cela que michel quint se met a ecrire des romans noirs
Du mouvement
Ses etudes
D’autres œuvres
Michel Quint est n en 1949 il a publie une vingtaine d’ouvrages ( romans et nouvelles noirs ) . il a recu le grand prix de la littérature policière en 1989 pour son roman …
Effroyable jardin a était adapter au cinemaa en 2003 par jean becker avec thierry lermitte , jaques vileetr andres dussolier et benoit magiùel
Il y a eu un deuxieme volet a la suite d’effroyable jardin . e second tome est parue en 2002 se nomme « aimer a peine » au editions joëlle losfeld .
2. il fut editer pour la preumiere fois en 2000
3.le titre effroyable jardin provient d’une citation de guillaume appolinaires provenant de son ouvrage : caligrames
« et que la grenade est touchante
Dans nos effoyables jardins »
4.ce titre correspond a un oxymore puisque c’est une alliance de deux mots contredictoires comme on peut trouver avec la beauté du mal chez baudelaires
5. cette dedicace est pour son grand père un ancien combattant de verdun et mineur de fond , et pour son père qui est un ancien resistant .
Il leurs a dedier ce livre pour le courage qu’ils ont eu en fesant face a l’horreur qu’ils ont retraverser en raccontant leur vecu et aussi a la force qu’lis ont eu puisque malgres leur rapports tres compliquer avec les allemands ils ont eu la force de voir leur progeniture apprendrela langue de ceux qui ont tuer tant de personnes cheres a leurs yeux .il aussi dedier ce livre a bernahrd wicki dont on parlera plus en ddetails a la question n°31
6. le clown auguste apparu dans les années 1870 bien apres le clown blanc . l’auguste est le clown impertinent qui enchaine les pitreries et les acrobaties . il a pour seul but de divertir les gens on peut le reconnaitre tres facilement grace a son maquillage tres present , a ses habits beaucoup trop grand pour lui un petit chapeau qui bouge la plus part du temps et grace aussi a son fameux nez rouge
7. je correspond au narrateur qui est interne a l’histoire .’
Grace a deux passages on peut voir que des sa jeunesse il n,aimat pas les clowns :
‘’aussi loins que je puisse retourner […] les clowns m’ont decla,cher le chagrin’’p14
‘’plus que tout , j’ai detester les augustes’’ p15
P27 ‘’ aujourd’hui ‘’
8. l’incipit demarre dans les ‘’derniers jours du proces de Maurice Papon ‘’ p13
On sait que le proces debute le 8 octobre 1997 a bordeaux et il finit le 2 avril 1998 par une condamantion a dix ans de reclusion criminelle pour complicite de crimes contre l’humanité.
On pourrait penser que l’incipit debute entre ces deux dates puisqu’on nous ditque l’auguste ‘’est revenu regulierement […] assister a la fin des audiences et aux plaidoiries’’ alors qu’a la page suivante on voit ‘’apres que fut tomber le verdict ‘’ on peut donc assurer que l’incipit demmare en 1998
9. p21 ‘’ dans les annes 50 debut 60 ‘’
Aujourd’hui p24
P25 il retourne dans le passé les dimanche quasi hebdomadaires ou nous les AVIONS a mangé ‘
10 . gaston est le cousin du père du narateur , il est decrit comme un ‘’bon a rien ‘’ p25 on le compare a james cagney un grand acteur connu pur ces roles de grand dur , c’est une personnes extremement maigre ‘’ eflanqué’’ il a epouser une femme qui lui est opposer du mois physiquement cra elle est decrite comme ‘’potelée’’ car mentalement ils sont identiques , on peut le voir avec l’utilisation de la 3eme personne du pluriel ‘’ils tiraient ‘’ c’est aussi un resistant tout comme le père du narrateur ‘’moi et ton père par notre petit groupe de resistant ‘’ p33 mais au fur et a mesure du roman on a de plus en plus de consideration pour ce personnages qui devient peu a êu une personnes respectable .
11 ce fait de la resistence ce passe dans la ville de douai ‘’ le sabotage du transfo de la gare de douai ‘’p34 celui de la gare de douai p 33
12 il se deroule en ‘’fin 42 debut 43’’ p33
13 ce fait consiste a faire exploser plusieurs transformateur ‘’on avait recu l’ordre de faire sauter tout les transfos de l’arrondissement ‘’ p33
14. c’est un petit groupe de resistant en partie constituer du père du narrateur et de son oncle gaston
15.ils y a eu une dessente des allemands pour les arreter ‘’ un vruit de bottes dans l’escalier , et un grader essoufflé qui deboule gueuler artoung et los et wek ‘’ ils sont ensuite non pas fusiller mais capturer comme des otages ‘’ nous v’là otages ‘’ p39
16 . la situation est ironique du fait que ils on était pris en tant qu’otages pour etre fusiller si les coupables ne se denonce pas alors que les coupables c’était eux , or si ils se denocaient il etaient fusiller en tant que teroriste ‘’ on ne pouvait pas esperer que quelqu’un se dennonce [jusqu’à ] anarchiste ou communistes ‘’ p39
17. les deux autresotages avec eux sont Henrie Jedreczak, et emile bailleul qui sont membre d’une equipe de foot , ils sont decrit tel des ‘’sportifs du dimanche ‘’ p 45 personnes du peuple ‘’language familier
18.les quatres otages possedent un oint commun , ils était tous dans le meme club de foot, ils ont était choisis par des gendarmes français qui ont voulu vanger leur honneur car cette equipe est sorti gagnante de la coupe de France 1939 en marquant trois but a zero face a l’equipe soutenu par les gendarmes ‘’les gendarmes etaient pour l’equipe [jjusqu’a ] ils ont benger leur honneurs comme ils on pu ‘’ p44-45
19. ils sont enfermer dans un trou creuser pres d’un ravin en pleine nature ‘’on nous jetait dans un trou d’argile ‘’ p40 ‘’creuser un escalier a flan de falaise ‘’ p42 ‘’la pluie nous a fait la toilette ‘’ p42
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