Le transhumanisme par ses promoteur, Marine Lamoureux
Dissertation : Le transhumanisme par ses promoteur, Marine Lamoureux. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lucas Berchel • 8 Mars 2017 • Dissertation • 918 Mots (4 Pages) • 939 Vues
Au travers de ces trois documents, la question du transhumanisme est abordée avec des regards différents. Le premier document est un
article de Marine Lamoureux, '' le transhumanisme par ses promoteurs '' rédigé pour le journal La Croix en 2015. Le second document est une
interview du médecin François Berger pour Sciences et Avenir datant de juillet 2016. Enfin le troisième document est un extrait du roman Notre
ennemi, le Capital de Jean Claude Michéa.
En quoi ces trois documents définissent et analyse les promesses et les limites du transhumanisme ?
Nous verrons dans un premier temps, la présentation qui est faite du transhumanisme, avant de s'intéresser dans un second temps aux points de
vue divergents à propos de celui-ci.
Le transhumanisme est une vision modifié de l'espèce humaine telle que nous la connaissons aujourd'hui. L'espèce humaine n'a cessé d'évoluer
depuis son apparition, et compte désormais sur la robotisation et l'expansion de la technologie pour se soulager dans son existence. Ainsi, comme
en témoigne François Berger dans son interview, le transhumanisme est une idéologie et non une science. Le fait de vouloir tout se permettre au
nom du bien-être de l'individu pose des problèmes éthique. Pour lui, cet idéologie soutenu par de grands groupe technologiques mondialement
connu, n'est pas suffisamment fondé sur l'aspect médicale. Le progrès technologique est utile pour des patients qui auraient une maladie mais ne
doit pas intervenir sur le corps de personne saines. La quête de l'amélioration des capacités de l'individu n'est pas une utilité.
Dans l'article de Marine Lamoureux, le transhumanisme se définit par Max More comme étant un nouvel humanisme. C'est un service rendu à
l'humanité qui doit servir l'intérêt de tous. Il est dit que chacun à la droit de choisir sa mort comme il le conçoit. C'est en quelque sorte maîtriser
son destin et vivre correctement en éradiquant les contraintes pesantes sur la vie. On prône une technologie qui fusionnerait avec notre corps
pour mieux vivre et affronter les étapes de la vie biologique.
Contrairement à Marine Lamoureux, Jean Claude Michéa définit quant à lui le transhumanisme comme '' l'homme hybride qui perd son identité
corporelle '' , c'est l'assistanat technologique... La technologie fait perdre la raison à l'être humain qui rêve d'un idéal suprême afin de vivre une
vie longue de plusieurs siècle, sans les contraintes physique et mentale liées au changement biologique du corps. C'est en quelque sorte pour cela
qu'il assimile le transhumanisme comme une religion, celle du capital. Car il faut bien le rappeler que ce progrès ne peut s'établir qu'avec un
important capital financier.
Pour résumer, le transhumanisme est un genre nouveau de l'être humain. Le progrès technique nous en approche très rapidement. Nous n'avons
pas encore assez de connaissance pour créer un humain-robot toutefois, la nanotechnologie aide grandement le milieu médical et permet de
soulager de nombreux patients souffrant de maladie grave.
Le développement de ces technologie coûte relativement cher, et fait partie des nouveaux
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