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Le conte africain

Fiche de lecture : Le conte africain. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  1 Juin 2020  •  Fiche de lecture  •  1 176 Mots (5 Pages)  •  1 058 Vues

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    LE NOM

Conte africain : La mystique explique parfois des choses par des chemins détournés. De nombreuses et riches interprétations sont possibles.

   A l’origine le conte africain est une littérature orale, servant à transmettre les valeurs de la société dans laquelle il est issus. Ces transmissions s’appuie sur la mémoire et par conséquent mute perpétuellement pour s’adapter dans son contexte.

Nul ne connaît l’origine des contes africains, qui sont en général le reflet de la société et n’ont pas d’auteur.

Ainsi, le conte schématise ses personnages, multiplie les péripéties initiatiques, sème sur le chemin des héros obstacles, arme parfois les protagonistes de pouvoirs surnaturels. 

Le conte cherche à sortir de la réalité par le merveilleux (Exemple: les Contes des Mille et une nuits, ), par le fantastique.

Le conte que nous vous présentons s' intitule LE NOM, la mysticité de se contes plonge  notre imaginaire dans de nombreuses et riches interprétations et de questionnement.

De ce fait, en découle la problématique suivante :

Quelle est rôle du conte et ses apports ?

On va découper le conte et le diviser en 4 parties :

I-  Un village sans nom

II- la femme et l’oiseau

III- la vie

IV- la mort

     I- Un village sans nom.

Pour commencer, le conte nous présente un village qui n' a pas de nom. Nous ne pouvons le situer, si ce n' est que cela se passe en Afrique du Sud. Ce village se compose de quelques maison ainsi que d' homme et femmes mais mystérieusement aucun enfants n'y est présent. Aucune femme du village n’est tombée enceinte.

Ce village inspire une certaine tristesse (mélancolie , crépusculaire, mystére) ce qui le rend austère comme nous stipule le texte par la citation suivante : « il n' est pas haltes sûr » ( ref : voyageur).

Néanmoins ce village a son potentiel et reste un bel endroit aux yeux de ses habitants, «belles luminosité ».

  On comprend que le village n'a pas une identité propre, le manque de passages montre qu'il n'est pas en lien avec l'extérieur et l'isole. Il n'est pas existant aux yeux du monde, et son développement en n'est impossible, ce qui est caractérisé par l'absence de l’enfant , qui lui représente l'avenir, le futur. Enfin comme dans beaucoup de conte africain l'infertilité des femmes est étroitement lié a celle de la Terre, mère nourricière. Qu’on verra en lien plus tard.

 

  II- La femme et l'oiseau

  Ensuite nous avons l'apparition d'un personnage, une jeune femme du village. Elle apparaît déjà comme singulière, personne avant elle n'avait chantait de façon spontané et enjouée. Dans son engouement,  un écho retenti de nulle part et interrompt sa routine de cueillette. Cet autre qui lui répond est un oiseau. Le dialogue verbale s’établit quand la femme lui demande son nom.  Une première réticence vient a l'oiseau quand à cette question , pourquoi vouloir savoir son nom, et qu'est ce que cela le peux lui apporter.  Il lui retourne la question à savoir qu'elle est le nom de son Village mais un sentiment de honte lui vient car elle ne peux lui en donner un (murmure, front baissé)

Cette réserve de l' oiseau à l' égard de la femme, implique que le dialogue entre les personnage ne peut être serein. Avant de fuir l' oiseau nargue la femme et a un comportement hautain « éclat moqueur ».

 Cette provocation de l’oiseau lui provoque de la frustration de ne pas avoir de réponse. Ce manque de communication se traduit par la violence, et lance une pierre qui sera fatale a l’oiseau

 - elle à donné la mort sans le vouloir.

III- La mort

Face a cette action non contrôlée elle se retrouve désemparée. Submergé par la tristesse « cri désolé » « yeux mouillés » « larmes ». Elle retrouve son mari avec l'oiseau dans ses mains, qui lui le reconnaît instantanément en le nommant le Larot, un oiseau marabout. On comprend que c'est un être mystique « marabout » « sacré ».  Et Le village se retrouve autour de ce petit corps et inquiète car « sa mort porte malheur ». Finalement on lui conseille d’aller voir le chef du village qui comprend la menace et propose de la conjuré et  de l’apaiser par une cérémonie. Musique, danse et prières durant trois jours. Cette évènement a rassemblé le village pour faire face a cette tragédie, d’affronté la mort.  La cérémonie ce termine par l’enfouissement de l' oiseau, cela peu s' apparenter a l' action de semer une graine, laquelle donnera une vie. On pourrait également le mettre en parallèle a la fécondation. On trouve souvent dans les conte africain l’affiliation entre la terre et la mère.

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