Le Roman de Tristan et Iseut

Rédaction de paragraphes

Exercice

|Consignes|

1. Prenez le temps de lire attentivement l’extrait 3 dans Le Roman de Tristan et Iseut[1].

2. Lisez les informations importantes de cet exercice.

3. Répondez aux questions en tenant compte de tous les éléments fournis et en prenant soin d’inclure des organisateurs textuels ou des marqueurs de relation appropriés.

|Informations importantes|

Sujet de rédaction : Analysez les différents verdicts posés sur Tristan et Iseut dans l’extrait 3.

Idée principale 1 : Culpabilité

Idée secondaire 1 : Le nain Frocin

Idée secondaire 2 : Les barons de Marc

Idée secondaire 3 : Le roi Marc

Banque de citations :

« Et dehors, à la lune, le nain, par son art de sortilège, connut que les amants étaient réunis. Il en trembla de joie et dit au roi : “Va, et maintenant, si tu ne les surprends pas ensemble, fais-moi pendre!” »

« Alors les quatre barons, qui haïssaient Tristan pour sa prouesse, le maintiennent sur son lit, et menacent la reine et la raillent, la narguent et lui promettent bonne justice. Ils découvrent la blessure qui saigne. “Tristan, dit le roi, nul démenti ne vaudrait désormais; vous mourrez demain.” »

Idée principale 2 : Innocence

Idée secondaire 1 : Tristan

Idée secondaire 2 : Le narrateur

Idée secondaire 3 : Le peuple

|Question 1|

Rédigez le premier paragraphe correspondant aux informations présentées ci-dessus (liées à l’idée principale 1). Tenez compte des citations fournies. N’oubliez pas d’inclure une mise en contexte adéquate et des organisateurs textuels. N’oubliez pas non plus de respecter la séquence suivante :

Une image contenant capture d’écran Description générée automatiquement

D'abord, Tristan et Iseut sont considérés par certains comme étant coupables. Ainsi, le nain Frocin tend un piège à Tristan et Iseut pour que leur relation soit découverte. Après avoir laissé les amants seuls dans la chambre de Marc, le nain indique au roi le bon moment pour y retourner: « Va, et maintenant, si tu ne les surprends pas ensemble, fais-moi pendre. » Aussi, les barons du roi l'accompagnent et le forcent à voir les preuves matérielles lorsqu'ils retournent dans la chambre, soit la présence de sang sur les draps du lit où se trouve la reine: « Alors, les quatre barons, qui haïssaient Tristan pour sa prouesse, le maintiennent sur son lit [...]. Ils découvrent la blessure qui saignent. Pour terminer, devant les preuves aussi évidentes, le roi Marc conclut à la culpabilité de sa femme et de son neveu, auquel il annonce: « Tristan, [...] nul démenti ne voudrait désormais:

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