La Mort d'Olivier Bécaille Émile Zola

La nouvelleLa Mort d'Olivier Bécaille écrite par Emile Zola en 1884 nous raconte que :

Le narrateur est protagoniste de l'histoire, Olivier Bécaille, a amené sa jeune épouse Marguerite à Paris depuis Guérande, espérant y trouver quelqu'un pour assurer leur survie. Un endroit pas si médiocre à vivre. Dès qu'ils ont emménagé dans un hôtel meublé de Dauphin Street, il a souffert du syndrome d'évanouissement ankylosant. Il gardait toute conscience, mais ne pouvait plus bouger ni donner aucun signe de vie. Sa femme et ses voisins, la pittoresque non officielle Mme Garbin et le jeune et riche M. Simono, croient qu'il est mort. Le médecin épuisé appelé pour confirmer la mort l'a vu dans la pénombre, ne l'a même pas examiné et a approuvé l'enterrement. Olivier Bécaille a été enfermé dans un cercueil et a assisté à ses obsèques. La capacité de se déplacer a finalement été restaurée et le héros a finalement réussi à sortir de sa tombe. Un vieux médecin l'a recueilli et l'a soigné pendant trois semaines. L'été est là (l'histoire commence au début du printemps), et le narrateur peut se promener ; il se rend à l'hôtel meublé et apprend de la conversation que sa femme est partie en province avec M. Simono, et qu'elle envisage de faire son deuil en elle. Épouse-le quand la douleur est terminée. Olivier Bécaille ne veut pas reprendre ses forces : il a eu tort d'épouser une jeune femme qui n'était que douce avec lui et s'ennuyait avec lui ; il a décidé de ne pas faire son malheur en réapparaissant. Il voyage beaucoup et se contente d'une vie médiocre. Il était en mauvaise santé, vivait dans la peur de la mort ; maintenant il n'a plus peur d'elle, il n'y a rien à perdre :

"La mort ne me fait plus peur, mais maintenant je n'ai plus de raison de vivre. Elle ne semble plus vouloir de moi. J'ai peur qu'elle m'oublie."

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