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L ‘Analyse de philosophie de Voltaire à travers de Cacambo par Arseniy Matveev

Dissertation : L ‘Analyse de philosophie de Voltaire à travers de Cacambo par Arseniy Matveev. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  7 Avril 2017  •  Dissertation  •  1 254 Mots (6 Pages)  •  833 Vues

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Voltaire, dans son roman Candide, pose le nombre des questions sur la variété de meilleurs de vie. Dans le siècle des Lumières, les nouveaux penseurs étudiés commencent « un mouvement bien décide à combattre l’ignorance, l’oppression et les ténèbres par le savoir ». Voltaire était un de majeures figures de ce mouvement. « Il œuvre en parallèle pour une plus grande justice sociale en s’engageant idéologiquement dans des conflit publics » et avec autre philosophes. Par chance pour nous tous, il a formé ses idées principales dans son conte romantique philosophe Candide, dans laquelle on va immerge.

Dans ce livre, on va expérience son philosophie via le personnage de deuxième plan, mais encore très important, Cacambo. On le rencontre pour la première fois dans le port de Buenos-Aires : « Candide avait amené de Cadix un valet tel qu'on en trouve beaucoup sur les côtes d'Espagne et dans les colonies. C'était un quart d'Espagnol, né d'un métis dans le Tucuman ; il avait été enfant de chœur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais. Il s'appelait Cacambo, et aimait fort son maître parce que son maître était un fort bon homme. » Il est un vrai réaliste, base les jugements seulement sur ses expériences, en opposition de Pangloss, par exemple, qui dérive ses idées sur les travailles de philosophes anciennes. Partout de livre, il exprime des idées rationnelles et représente l’expérience concrète : « Il rappellera Candide à la réalité par de petites phrases cynique mais juste. » On va regarder comment Voltaire exprimer ses majeurs idées en utilisant de Cacambo.

La première grande idée est présente quand Candide et Cacambo rendent une visite de révérend père provincial. Quand Cacambo demande le sergent « Et où est le révérend père provincial ? », il lui dit, que « Il est à la parade après avoir dit sa messe, répondit le sergent ; et vous ne pourrez baiser ses éperons que dans trois heures ». En même temps, quand ils visitent El Dorado, la cérémonie de faire de connaissance de roi est absolument oppose : « L'usage, dit le grand officier, est d'embrasser le roi et de le baiser des deux côtés. » Ici, on peut voir le criticisme de société aristocratique inégal. Voltaire était un de premières gens qui exprimer les idées de concept qui on appelé socialisme.

Ensuite, on peut remarquer une autre idée intéressant. Quand Candide tue les deux singes qui poursuivre les jeunes filles oreillons et elles remplir l’air de cris, Cacambo lui dit :

 « Vous avez fait là un beau chef-d’œuvre, mon maître ; vous avez tué les deux amants de ces demoiselles.  Leurs amants ! serait-il possible ? vous vous moquez de moi, Cacambo ; le moyen de vous croire ? Mon cher maître, reprit Cacambo, vous êtes toujours étonné de tout ; pourquoi trouvez−vous si étrange que dans quelques pays il y ait des singes qui obtiennent les bonnes grâces des dames ? Ils sont des quarts d'hommes, comme je suis un quart d'Espagnol »

        Dans cette petite dialogue Voltaire exprimer une grande idée qui était exprimé il y a beaucoup années par Montaigne, l’idée d’imposition des canons du monde occidental sur les sociétés colonisées. Voltaire reprouve ce comportement, et les d’autres, à travers de situations drôles comme ça.

        Cependant, il y a un autre critique de société moderne, associe avec les Oreillons. Quand ils peuvent manger notre personnages, Cacambo ne se décourage pas !  Puis, dans le monologue de Cacambo, Voltaire introduit un autre aspect de sa philosophie - un critique de guerre : « Messieurs, dit Cacambo, vous comptez donc manger aujourd'hui un jésuite : c'est très bien fait ; rien n'est plus juste que de traiter ainsi ses ennemis. En effet le droit naturel nous enseigne à tuer notre prochain, et c'est ainsi qu'on en agit dans toute la terre… » Etonnamment, « Les Oreillons trouvèrent ce discours très raisonnable » ! Oui, parce que dans ce respect, les sociétés occidentales développe sont les mêmes comme les sauvages d’Amérique du Sud. Ils tuent ses prochains…

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