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Koška a vu Gjušti Dore

Commentaire d'oeuvre : Koška a vu Gjušti Dore. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  6 Mars 2014  •  Commentaire d'oeuvre  •  1 226 Mots (5 Pages)  •  666 Vues

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Pour le chat:

Le Chat vu par Gustave Doré.

Le Chat est le seul héritage d'un jeune homme pauvre. Il n'hésite pas à mentir au roi, à manipuler l’ogre et à corrompre les paysans pour faciliter l'ascension sociale de son jeune maître, afin de pouvoir lui-même vivre oisivement par la suite. Ce Chat botté menace, triche, trompe, et vole pour aider son maître. Le Chat est vu comme un virtuose de la langue, une créature passée maître dans l'art de la persuasion et de la rhétorique pour obtenir le pouvoir et la fortune. Le Chat joue ainsi le rôle d'un voleur expérimenté, et Perrault semble avoir été un peu gêné de cette perception du chat, ce qui l'aurait conduit à le dissocier de son maître, bien qu'au final les deux se confondent assez souvent. ceci est un thème d’un l'animal ayant recours à la ruse et à la tricherie pour aider son maître.

Le chat est un animal qui représente l’hypocrisie, l’égoïsme, la cruauté, et représente aussi l’art de la tromperie.

Le Chat représente l'hypocrite (Le Chat, la Belette et le petit Lapin),

Rien ne se prête mieux, semble-t-il, à l’imagination des illustrateurs que les fables de La Fontaine. Ces textes aussi courts que denses offrent des prolongements sans fin à la vivacité de leur esprit et à la finesse de leurs traits. Le dialogue s’établit aisément entre eux, comme si à la lecture des mots, les idées de volumes et de couleurs se levaient comme des alouettes au vent frais du matin. Au bout de leurs crayons et de leurs pinceaux, les animaux deviennent des personnages de la comédie humaine et nous renvoient à notre bestialité, si l’on veut bien garder ce mot dans son sens premier. Combien de dessinateurs ont donné libre cours à leur verve en allant puiser aux sources intarissables des récits de notre grand écrivain ! On associe beaucoup d’entre elles aux contours ronds, joyeux et désaltérants de Benjamin Rabier. Voici que, prenant un autre chemin, nous buvons un bonheur visuel aux transcriptions de Jean-Jacques Granville (1803-1847) qui, se saisissant des épigrammes du conteur, en offre à son tour une version non moins merveilleuse. Initié au dessin tout jeune encore par son père, poursuivant sa formation de multiples manières, fasciné par la lithographie et la physiognomonie, alors en vogue, Granville s’impose parmi les grands caricaturistes par l’acuité de son regard et l’intuition de sa main. Il compose ainsi un univers à la fois fantastique et romantique, pour ainsi dire surréaliste comme on l’a souvent dit, où l’homme et l’animal sont progressivement rapprochés, unis et noués en d’incroyables métamorphoses qui mettent l’étrange au niveau du quotidien et rangent le monstrueux du côté de l’ordinaire.

Granville a le don de « défigurer avec malice ces physionomies que l’adulte met tout son art à figurer ». Déjà marquée par les deuils, la brève existence de Granville s’épuise dans un labeur inlassable, s’obsède de la perfection graphique qu’il veut obtenir, s’irrite devant les failles de la gravure. Sa mort sera un couronnement tragique alors que la célébrité lui tresse des lauriers. « C’est alors qu’il me restait à subir la plus cruelle - horrible - des tortures…à passer sous l’outil impitoyable du graveur…combien de fois le sang me monta au visage à la vue de tant d’atroces cruautés, de tant de mutilations, opérées par ce que ces messieurs appelaient tranquillement du métier ! ». Son œuvre est considérable et la liste des ouvrages qu’il a illustrés est sans fin. On peut citer notamment Don Quichotte, Les Voyages de Gulliver, Robinson Crusoé. Il collabore aux périodiques et aux revues qui ont à l’époque une audience étendue et un pouvoir politique

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