Jean de la Fontaine : le Lion devenu vieux

Un Lion décrépit, goutteux1 , n'en pouvant plus Voulait que l'on trouvât remède à la vieillesse : Alléguer l'impossible2 aux Rois, c'est un abus3 . Celui-ci parmi chaque espèce Manda des médecins ; il en est de tous arts4 : Médecins au Lion viennent de toutes parts ; De tous côtés lui vient des donneurs de recettes. Dans les visites qui sont faites

Satire du roi ;

- le roi essaie de se dédouaner de l’accusation du médecin en mentant et en désignant les technique de médecin pour qu’il soit perçu comme le coupable.

Satire des courtisan ;

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Satire des médecins ;

Satire du roi :

Dans cette fable de La Fontaine, le lion est l’allégorie  d’un roi âgé « vieillesse » (v.1) et malade « goutteux », qui veut gagner du temps avant la fin de ses jours. Pour cela il demande à ses courtisans de venir « Le renard » (v.9) et  « Messire Le loup » (v.29). Jean de La Fontaine montre qu’il est aussi capricieux et égoïste en utilisant le verbe vouloir (v.2). Le lion montre tout au long de la fable sa supériorité en utilisant le champ lexical de « la cour », «roi » (v.10), « majesté » (v.22) ou encore « Monarque » (v.33), de plus Jean de La Fontaine a écrit « rois » au pluriel car. Le lion est personnifié car il est décrit comme étant atteint de la goutte (v.1) or c’est une maladie humaine ce qui est en opposition avec l’animal.

La diérèse sur le mot « li-on » montre la majesté du roi en opposition « n'en pouvant plus » qui est une expression beaucoup plus familière ce qui casse cette image majestueuse du lion.

Le lion, naïf et crédule, écoute et fait ce que lui dit le médecin alors que ces actes sont insensés : « D'un Loup écorché vif, appliquez-vous la peau Toute chaude et toute fumante »(v.). Le renard grâce a ca notoriete et la naifté du roi arrive a élimine l’indésirable qui vient le déranger.

Puissant Veut qu'on aille enfumer Renard dans sa demeure

seduisant

fourbe traitre Le Loup en fait sa cour, daube6 au coucher du Roi

Satire des courtisans :

- le renard contrairement au autre ordre du roi, ne souhaite pas répondre a l’ordre du roi , « Le Renard se dispense, et se tient clos et coi »(v.9) un des courtisant ordonne ça venu :     « Veut qu'on aille enfumer Renard dans sa demeure, Qu'on le fasse venir »(v.12). Dans ce vers L.F. oublie volontairement le pronom ce qui fait que le Renard et maintenant un nom propre, cela lui donne plus importance qu’avant.  

- Au vers 11, « Son camarade absent » le fabuliste a voulu montre la lacheté des courtisant. Il atant que son rivale soit absant et le roi malade et inpuisant, « le Prince » (v.11).

Satire des médecins :

- Le médecin, de le debut de la fable est mie a l’écart or il ne feusait que son travaille puis vers le fin il relance ca défence « Gens experts et savants »

- Le remède est dit « Le secret » (v.27) est de tué le loup, et le roi gagnera du temps sur le future en temps que roi.

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