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1. DE QUOI MES RÊVES SONT-ILS FAITS

Nos rêves peuvent être de nature très variés, leurs diversités se trouve exprimé par la polymère du mot qui les désignent.

Il s’applique à la fois à un phénomène caractéristique de la phase du sommeil et a une projection idéalisé de la réalité à l’état de veille.

Dans un sens biologique, le rêve est perçu comme une vision  nocturne dû à un décrochement de la conscience qui l’acte se prise surréelle et peut s’abandonner à diverse divagation. Toute cette affranchissement n’est pas totale puisque notre quotidien, nos préoccupation, nos désir sont les premiers à informer nos rêves, ce qui nous permet de dire qu’il n’y a pas d’abîme si profond entre le rêve du dormeur et celui de l’éveiller.

Dès l’antiquité les penseurs grecques font le lien avec ces deux états montrant de quelle manière la réalité songe dans le rêve. Il font le lien entre la part consciente et inconscience qu’il y a dans le rêve.

« Nous n’avons pas conscience de rêvé mais nous avons conscience de nos rêves »

Plus de deux millénaires après ce que les théorie de la psychanalyse ont essayé d’analyser mené par Freud sous un nouvel angle. Le rêve serait u moyen d’exprimer nos frustrations mais aussi nos désirs refoulés.

Par conséquent l’analyse et l’interprétation des rêves deviennent des voie de compréhension de névrose qui sont liés à des fantasme ou des désirs inassouvie. Si ce que l’on voit en rêve  la nuit est rarement maîtrisé ont contrôle plus les visions que l’on se plaie à se fixer comme objectifs. Il prend une dimensions définir, c’est une aspiration à un idéal, un désir à combler.

Assimilé à ce dormie, le rêve s’apparente alors à ce qui est hors porté, mais anime notre action. Qu’il corresponde à une phrase de veille/sommeil il prend sa source dans une partie qui agit en nous.

Quels sont les éveilleurs de rêves ?

C’est un ensemble de sensation engendré par le lien dans lequel nous nous trouvons, des objets, odeurs, sons qui suscite en nous des réminiscences. Nous entraîne dans la rêverie de la réalité et nous empêche d’agir.

Faut-il considérer le rêve comme une perte de temps ?

 On peut voir aussi dans le rêve un espace de liberté indispensable à la création recentré à la connaissance du monde et ensuite à la construction de soi.

Enfin, ce rêve que je fais met-il réellement propre ?

Pour peu que nous prenions le temps d’étudier le rêve nous découvrons que cette part d’intimité que nous pensions préserver est en réalité souvent conditionner et dès lors partager par le plus grand nombre. En certaine de ces aspirations idéales s’insèreront sciemment dans des idées utopiques de société de danger et alors que ces derniers portent atteintes à l’individu libre, car la progression d’un hypothèque de bonheur à tous conduit dans bien des cas au totalitarisme.

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