Fiche De Lecture, La Mondialisation N'est Pas Coupable De Paul Krugman
Dissertations Gratuits : Fiche De Lecture, La Mondialisation N'est Pas Coupable De Paul Krugman. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar mumu0851 • 25 Novembre 2014 • 2 141 Mots (9 Pages) • 3 355 Vues
Présentation de l’ouvrage et de l’auteur
Auteur : Paul R. Krugman
Titre : La mondialisation n’est pas coupable, vertus et limite du libre-échange
Titre originale : Pop Internationalism
Lieu de publication : France
Maison d’édition : La découverte
Date de publication: 1998 en France
Mots cléf: concurence, mondialisation, libre-echange, sagesse dominante, technologie, competi-vité, chine, capital, croissance, commerce international, entreprises, economie, travail.
Paul R. Krugman est née en 1953 avec la nationalité Américaine. Krugman a étudié à Yale puis au MIT (Massachusetts Institue of Technology) Il est devenu au cours de sa vie un économiste Américain qui a reçu en 1991 la médaille de John Bates Clark de l’American Economic Asso-ciation puisqu’il a apporté une contribution essentielle aux sciences économiques.
En 2008, il reçoit « le prix Nobel de l’économie » pour avoir montré « les effets des économies d’échelle sur les modèles du commerce international et la localisation de l’activité écono-mique ». C’est grâce à sa rubrique dans le New-York Times qu’il a reçu le prix Nobel de l’économie. Aujourd’hui il est professeur d’économie et de relations internationales à l’université de Standfort.
En autre, Krugman critique la politique général et économique du président George Bush. Il est tourné vers les pensées de Keynes puisqu’il est un des principaux acteurs de la nouvelle théorie du commerce international qui repose sur le commerce intra-firme et des industries.
Krugman c’est fait connaître par des ouvrages publiés depuis la fin des années 80. Ces princi-paux livres sont :
- « L'économie auto-organisatrice », édition De Boeck, 1998, (ISBN 2744500437)
- « La mondialisation n'est pas coupable : vertus et limites du libre-échange », (« Pop internati-onalism ») édition La Découverte, 1998, (ISBN 270713113X)
-« Pourquoi les crises reviennent toujours » de 2000
- « Sortez-nous de cette crise... maintenant ! », édition Flammarion, 2012, (ISBN 9782081286290)
Thèse de l’auteur:
Krugman est en contradiction avec la définition du commerce international qui est tourné autour de la lutte entre les pays pour conquérir le marché mondial.
Paul R. Krugman défend le libéralisme de la société tout en la critiquant. Dans la « mondialisa-tion n’est pas coupable » l’auteur reprend des thèses comme celles de Ricardo et de Smith pour montrer que la spécialisation des pays et le libre-échange permettront d’améliorer le niveau de vie de la population ou ses démarches sont effectuées.
Mais dans certains cas l’intervention de l’Etat peut être bénéfique et même indispensable.
Krugman dans son ouvrage veut montrer le bien fait du libre-échange tant qu’il respecte une concurrence loyale entre les pays en jeu. Il veut démontrer aussi que la croissance du libre-échange n’est pas liée avec l’augmentation du chômage dans les pays, ce chômage est lié à la croissance du pays.
Paul R. Krugman veut alors prouver que la mondialisation n’est pas coupable.
Résumé de l’auteur :
Après la lecture de l’œuvre nous pouvons constater que l’approche économique de Krugman sur le commerce international est en contradiction avec la définition de l’économie du commerce international. Il est plus axés sur les relations conflictuelles économique entre les états qui pous-sent et mettent en avant leurs industries de services et industries marchands dans une lutte de la concurrence pour conquérir le marché mondial.
On attribue souvent à la mondialisation des échanges une bonne partie des maux économiques et sociaux qui frappent nos sociétés. La concurrence entre pays développés est perçue comme une lutte sans merci ou les moins dynamiques risquent d’être définitivement éliminés de la course. La désindustrialisation du Nord est attribuée à la concurrence irrésistible du Sud. Au nom de la « compétitivité » de l’économie nationale, on prône les recettes économiques les plus contradictoires, du protectionnisme à la dérégulation totale.
Le livre de Paul R. Krugman – qui a trouvé un large public en France après sa première publi-cation en 1998 – balaie de façon extrêmement convaincante ces clichés trop répandus, à droite comme à gauche. L’économie mondiale est un système complexe de relations à effets rétroac-tifs, pas un enchainement de causes mécaniques à sens unique. Convaincu qu’on peut simple-ment parler d’économie sans trahir cette complexité, Paul Krugman s’est donné comme défi d’accomplir pour les arcanes du libre-échange ce que Stephen Jay Gould a réalisé pour les mys-tères de l’évolution. La limpidité des essais et le succès qu’ils ont obtenu aux Etats-Unis témoi-gnent de la réussite de son ambition.
Résumé du livre :
Maintenant que la guerre froide est terminée les termes de la concurrence mondiale ont évoluée. De l’idéologie à l’économie, et tous cela est sans doute une forme plus civilisé de la concur-rence.
Tel est le sujet du livre « la mondialisation n’est pas coupable ». Souffrant des autres livres à répétitions sur économie Paul Krugman écrit à sa manière sa façon de voir.
Krugman veut montrer que le libre échange est bénéfique et primordial pour que les pays pour qu’ils puissent se développer et apporter une croissance au sein du pays, cependant la plupart des grands économistes ou des grands politiciens regroupe tout sur le phénomène de la compéti-tive et de la concurrence entre les pays. Krugman veut aller outre ces pensées dominantes en critiquant différentes auteurs économistes qui pensent que le simple enjeu entre les pays est la concurrence.
Pour lui la croissance des pays et le développement des économies est source de destruction d’emploi dès lors que le pays ne dispose pas d’avantages comparatifs (Ricardo), ainsi nous as-sistons à la destruction d’une industrie et nous pouvons voir l’émergence d’une nouvelle indus-trie si le pays permet le développement
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