Dissertation Albert Camus

Dissertation : "La beauté sans doute ne fait pas des révolutions. Mais un jour vient où les révolutions ont besoin d'elle" par Albert Camus

« Le peuple n'a pas de pain? Qu'il mange de la brioche! » Les propres mots de Marie Antoinette, la reine de France durant 1789, le début de la Révolution française. L’État, un panier percé où les impôts dominent, le peuple meurt de faim, Louis XVI croit dans une appellation par Dieu et l’égalité n’existait pas encore. Cette révolution créa un héritage inconnu. Des voix entendues parmi la population, la culture, la politique et l’économie de la France. Le spot pointe la culture, plus spécifique la littérature et « Le conté de deux cités. » par Charles Dickens (1859). Une telle beauté et un héritage de cette révolution, elle ne l’a pas créée mais grâce à elle, l’histoire vit encore parmi nous. Une présentation de deux arguments pour et contre concrétisé par l’œuvre d’art mentionné.                         Premièrement, la Révolution française donne des voix à ceux qui en désirent. Les mères désespérées pour la nourriture pour leurs enfants, les fermiers dépassant les lois pour l’argent et la reconnaissance et les jeunes et révolutionnaires se battant pour un changement radical. Sydney Carton, un alcoolique devenant l’héro de la Bastille dans l’histoire qui perd sa vie en se battant pour la bonne cause. Docteur Alexandre Manette, un prisonnier à la Bastille sans la chance de posséder cette voix. Monsieur Ernest Defarge, un noble révolutionnaire convaincu que la Révolution française présente une noble cause. Cette histoire donne une voix à tous ceux qui la lisent et l’interprètent. Peut importe si cette interprétation soit positive ou négative. Obtenir une voix représente le but.                 D’autre part, l’opportunité de révolte, créée une division. Pas seulement entre les nobles et les révolutionnaires mais aussi entre les lecteurs. Cette histoire, écrite 60 ans après la Révolution française et probablement lue par des milliers de lecteurs, prouve qu’encore aujourd’hui des opinions divisées existent. En Angleterre, où l’histoire se situe partiellement, les classes existent encore. Cette histoire pose la haute classe dans une position délicate. Prenez John Barsad et Roger Cly par exemple, deux nobles étant espions pour la monarchie durant la révolution. Madame Thérèse Defarge, un noble comme son mari mais extrême concernant les lois sur la révolution. Elle se bat d’une manière sanguinaire pour obtenir son but, la liberté.

Pour finir, le Marquis St. Evrémonde, également un noble contre la révolution. Il va tellement loin dans ses idées qu’il finit sur la guillotine.                                                                                  Ensuite, comme déjà mentionné, l’héritage de la Révolution française mais aussi cette histoire. Le nombre d’exemplaires vendus confirme sa popularité. 200 millions d’exemplaires vendus dans les 5 premières années dès la publication. (Goodreads, 2018) Ce livre apparaît comme le livre le plus connu et le plus vendu de Charles Dickens. Sur la Révolution française, 57 romans ont été écrits en français. Surtout ne pas oublier les traductions des ces romans, les romans en d’autres langues à la base sur cette révolution, les livres scientifiques et les autres moyens d’expression comme l’opéra, le film, la musique etc. Cette révolution fait partie de l’histoire. Jusqu’à présent chaque plan d’éducation dans tous les pays, inclue cette partie de l’histoire. (Education International, 2017) Même les pas intéressés recevront cette histoire. Il ne faut surtout pas oublier l’héritage que la France, un pays très chauviniste, se fait rappelé chaque année.                                                                         Dernièrement, faut-il aussi inclure les pensées et sentiments des paysans pendant cette révolution. Ces problèmes économiques, politiques et culturels ne se sont pas apparus en un jour. Imaginez que pendant des années il faut travailler 24 sur 7 pour gagner de l’argent. Ta vie de famille ne vaut plus rien. Les enfants ne peuvent pas aller à l’école comme les enfants d’aujourd’hui. Il existe une manque de nourriture, d’argent car tous va vers les impôts, de respect et de vie. Pour la moindre chose, la loi possède le pouvoir d’arrêter les paysans. Trop se passe pour avaler. Normalement, l’idée que ceux qui prennent l’opportunité de crier est un cadeau de Dieu. Mais pour certains, c’est beaucoup trop, trop tôt. Le temps doit passer pour que la population s’y mette.

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