Corpus sur l'égalite De La Femme: Mais quelle vision de la femme ces trois textes prônent-ils ?: Mercier, Snad, Beauvoir
Dissertations Gratuits : Corpus sur l'égalite De La Femme: Mais quelle vision de la femme ces trois textes prônent-ils ?: Mercier, Snad, Beauvoir. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar cristal96 • 6 Mars 2015 • 318 Mots (2 Pages) • 1 726 Vues
Le corpus soumis à notre étude est composé d’un extrait du Tableau de Paris de l’écrivain Louis-Sébastien Mercier publié entre 1781et 1788, puis du recueil épistolaire sous forme autobiographique deGeorge Sand, Histoire de ma vie, paru en 1855, ainsi que de l’essai de Simone De Beauvoir, Le Deuxième Sexe, édité en 1949.
Ce corpus présente une unité thématique puisque tous abordent la questionde la femme. Mais quelle vision de la femme ces trois textes prônent-ils ?
Tout d’abord, nous pouvons observer que ce corpus montre une vision sommaire de la femme par L’Homme.
En effet,Louis-Sébastien Mercier présente dans Tableau de Paris, un homme qui s’accroche à une image superficiel de la gente féminine comme le suggère l’expression « L’Homme aimera toujours mieux la beauté d’une femme queson esprit ». Une superficialité que George Sand, dans Histoire de ma vie, attribue à « une mauvaise éducation » à laquelle elles sont condamnées. De même, dans Le Deuxième Sexe, l’essayiste nousexplique qu’une femme, superficielle ou non, elle reste une personne forcé d’être tels que l’on veut la voir comme l’indique la phrase « l’individu n’est pas libre de se modeler à sa guise ». Ainsi, lestrois auteurs mettent en évidence une femme limité à plaire.
Après avoir observé la vision futile de la femme, nous analyserons la vision d’une femme soumise et inférieure.
Effectivement, le Tableaude Paris de Mercier met en évidence la suprématie de l’Homme sur la femme, comme le suggère la phrase « il veut qu’elle ne jouisse que de la moitié de son être » : il montre ainsi que la gentemasculine ne veux d’une femme qu’une sincère soumission. Une soumission sous entendu dans le recueil épistolaire de George Sand, mais cette dernière s’attarde d’avantage à dépeindre « l’infériorité moraleattribué à la femme » : elle avance ainsi qu’une femme peut être « nerveuse, dominée par l’imagination, puérilement accessible aux attendrissements et aux inquiétudes de la maternité », cela ne fait..
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