Chevalier De La Barre de Voltaire
Compte Rendu : Chevalier De La Barre de Voltaire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Ambrouille • 4 Février 2014 • 508 Mots (3 Pages) • 1 248 Vues
e à ceux qui étaient présents lors du supplice. C’est un véritable « spectacle ». Cette hypotypose rend le récit vivant et donc d’autant plus marquant. Le caractère vibrant, présent du texte est aussi renforcé par le discours direct : « Prenons un peu de nourriture, lui dit le chevalier… ». Cela incite le lecteur à se mettre dans la situation : il réalise que cette barbarie est tout fait réelle et vécue. Le philosophe ne disserte pas ici au sujet de grands principes mais il expose un cas concret. Voltaire cherche donc activement à choquer son lecteur. Pour cela, il emploie des phrases très courtes, sans émotion, qui se succèdent rapidement. Les asyndètes donnent aussi un caractère très sec et saccadé au texte. Le ton très neutre du narrateur crée une forte antithèse avec le contenu de la lettre. Ce contraste fait naitre l’horreur chez le lecteur.
De plus, Voltaire manie aussi habilement l’art de la persuasion. Il commence par faire l’éloge du chevalier: il cherche à susciter chez s ...
e à ceux qui étaient présents lors du supplice. C’est un véritable « spectacle ». Cette hypotypose rend le récit vivant et donc d’autant plus marquant. Le caractère vibrant, présent du texte est aussi renforcé par le discours direct : « Prenons un peu de nourriture, lui dit le chevalier… ». Cela incite le lecteur à se mettre dans la situation : il réalise que cette barbarie est tout fait réelle et vécue. Le philosophe ne disserte pas ici au sujet de grands principes mais il expose un cas concret. Voltaire cherche donc activement à choquer son lecteur. Pour cela, il emploie des phrases très courtes, sans émotion, qui se succèdent rapidement. Les asyndètes donnent aussi un caractère très sec et saccadé au texte. Le ton très neutre du narrateur crée une forte antithèse avec le contenu de la lettre. Ce contraste fait naitre l’horreur chez le lecteur.
De plus, Voltaire manie aussi habilement l’art de la persuasion. Il commence par faire l’éloge du chevalier: il cherche à susciter chez s ...
e à ceux qui étaient présents lors du supplice. C’est un véritable « spectacle ». Cette hypotypose rend le récit vivant et donc d’autant plus marquant. Le caractère vibrant, présent du texte est aussi renforcé par le discours direct : « Prenons un peu de nourriture, lui dit le chevalier… ». Cela incite le lecteur à se mettre dans la situation : il réalise que cette barbarie est tout fait réelle et vécue. Le philosophe ne disserte pas ici au sujet de grands principes mais il expose un cas concret. Voltaire cherche donc activement à choquer son lecteur. Pour cela, il emploie des phrases très courtes, sans émotion, qui se succèdent rapidement. Les asyndètes donnent aussi un caractère très sec et saccadé au texte. Le ton très neutre du narrateur crée une forte antithèse avec le contenu de la lettre. Ce contraste fait naitre l’horreur chez le lecteur.
De plus, Voltaire manie aussi habilement l’art de la persuasion. Il commence par faire l’éloge du chevalier: il cherche à susciter chez s ...
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