Argumentation directe/ indirecte

Devoir maison de français

I/ Chacun des 2 textes est-il une argumentation directe ou indirecte ? Justifiez.

Le premier texte est une argumentions indirecte puisqu’il s’agit d’un conte philosophique. En effet de par sa forme, le conte philosophique n’est autre qu’une argumentation indirecte dans lequel Voltaire établit une complicité avec son lecteur. Le conte philosophique cherche à convaincre, à délivrer un enseignement ou pour faire réfléchir le lecteur. C’est un récit qui permet de mettre en scène des idées et des valeurs. De plus, nous pouvons remarqué qu’il cite « roi » à la ligne 2 ainsi que « la reine » ligne 2 qui éprouve un signe de noblesse.

Le second texte est une argumentation directe puisqu’il s’agit d’une lettre ouverte. En effet de par sa forme, une lettre ouverte n’est autre qu’une argumentation directe. De plus, dans une argumentation directe, nous trouvons l’engagement de l’auteur avec « je » à la ligne 11, il exprime une pensée qui est clairement exprimé en disant que Dreyfus est victime d’une injustice ainsi que un cadre réel d’écriture comme cette affaire c’est réellement dérouler en France et prend la responsabilité en exprimant sa pensée même si lui même se met en risque à être condamné par la suite.

II/ Relevez les arguments apportés par Zadig pour sa défense. Son plaidoyer veut-il convaincre ou persuader ? Justifiez.

Zadig raconte son histoire et la commence par « voici ce qui m’est arrivé » l15/16

Puis, s’enchaine une succession d’actions et d’événements relevés par le narrateur avec à la ligne 16, « Je me promenais » ainsi que « j’ai rencontré », « J’ai vu » l17, « j’ai jugé »l18, « m’ont fait connaître »l20, « m’ont appris » l24, « j’ai remarqué » l25, et « j’ai compris à la ligne 26. Son jugement dépend de ce qu’il voit et utilise la raison pour convaincre le lecteur avec des faits concrets et avec une redondance des mots « traces » et « sillons ». Il observe et constate, réfléchi et déduit, « J’ai vu » l17. Voltaire amène le lecteur à admettre sa façon de penser en lui exposant les raisons qu’il peut avoir de l’adopter. L’extrait du texte est structuré et se compose de deux parties. La première se situe de la ligne 1 à 10 « Le grand veneur … en ces termes », nous pouvons nommé cette partie comme la condamnation de Zadig. De la ligne 11 à 27 « Etoiles de justice … je l’ose dire » nous pouvons dire que cette deuxième partie est la justification de Zadig. Voltaire souligne que ce que lui pense est rejeté par la société et c’est dangereux de s’opposer aux idées en place et les remettre en cause.

III/ Quelle est l’opinion développée ?

Zola s’adresse au peuple français pour lui faire prendre conscience qu’il a tort et l’interpelle sur l’ accusation d’un homme innocent afin de faire éclater la vérité au grand jour.

IV/ Ce texte manifeste-t-il l’intention de convaincre et/ou de persuader

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