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Albert Londres, «Les forçats de la route », 1924

Synthèse : Albert Londres, «Les forçats de la route », 1924. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  18 Janvier 2021  •  Synthèse  •  656 Mots (3 Pages)  •  725 Vues

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On va étudier deux textes dont le thème et la vitesse lors d’un effort physique. Le premier texte a été écrit par Jean Echenoz « Courir » en 2008, le genre est un roman mais également une biographique élogieuse sur l'athlète tchèque Émile Zatopek. Le second texte a été écrit par Albert Londres «Les forçats de la route » en 1924,  ce texte mythique, souvent évoqué, qui raconte la « grande boucle », mais rend également hommage aux coureurs. On peut se demander quels effets la vitesse impose-t-elle au sportif. Dans la première partie on va voir les efforts à fournir et dans une deuxième partie les effets de l’effort sur le sportif.

Les efforts à fournir

 

A premier vue Jean Echenoz écrivant de « Courir » dit que l’on doit s’entraîner pour être plus performant. Qu’Emile travaille la vitesse plus que l’endurance. Il est à l’écoute de son corps, il met en place des techniques nouvelles d’entrainement tel que le système suédois, Gerschler ou encore celui d’Olander. Mais ces exercices intensifs sont très éprouvants et physique pour le corps humain. Il frôle parfois l’évanouissement car le cerveau e mets en pause pour ne plus souffrir. A l’instar Albert Londres écrivant de « Les forçats de la route » lui a besoin de s’entrainer à l’endurance car il fait le tour du monde donc il doit plus travailler son endurance que la vitesse.

Après une séance d'exercices physiques intenses il faut se mettre au repose car le corps a eu un « choc » donc il faut le calmer. Il ne pas faudrait pas faire de sport pendant au moins une journée afin de laisser le temps à l'organisme de reconstituer ses réserves énergétiques et de régénérer les tissus musculaires. Grace au sport on produit plus de morphine, elles entrainent une sensation d’euphorie, ce qui se traduit par de la bonne humeur.

La vitesse physique ou mécanique nécessite un dépassement de soi et la confiance en soi. Mais les effets sur un sportif peuvent être négatifs comme positifs.

Les effets de l’effort sur le sportif

A l’instar Albert Londres il faut une bonne condition physique, avoir de l’endurance. Mais certains sont plus rapide à la course à pied que ce qui sont en vélo car il y en a qui ont une longueur d’avance par rapport au vélo qui les encadre et pourtant ils ont eu le départ en même temps et qui parcourt la même distance. Donc le vélo et tout aussi épuisant que de courir. Jean Echenoz rejoint l’idée que lorsque l’on cour il peut y avoir une impression de voler ou de danser. Mais trop de sport n’est pas bon pour le corps car il accumule de la fatigue sans s’en que cela soit évident et c’est là le risque de blessure.  

A priori dans le texte de Jean Echenoz et Albert Londres il y aurait une forme de violence que l’on fait subir à notre corps sans s’en rendre forcement comptes on le voit avec la tétanisation du corps, grimace, le risque de perdre connaissance car le cerveau n’a plus assez d’oxygène pour bien fonctionner, l’allure d’un coureur se modifie constamment durant l’effort physique mais si le cerveau n’a plus assez d’air le corps peut devenir raide et être comme un automate. Il y a aussi de la violence au niveau des cuisses, des mollets et des fesses qui font mal au coureur se sont les premiers muscles qui sont touché lorsque l’on fait une course à pied. Le corps n’a pas nécessairement l’habitude de courir sous la chaleur car il parle de mourir sous la chaleur

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