Thérèse Desqueyroux

Thérèse Desqueyroux

1. Incipit

On a un narrateur externe, qui s’initie au point de vue omniscient de l’auteur, qui écrit à son personnage avec une considération de vivant , texte riche avec une analespe suivi d’une  prolepse>>effet de rapidité, brievete, rythme du résumé dans lequel s’initie la scène comme si on ne gardait que les fins marqueurs de conscience ; portrait physique explicite entre imperfections qui forment une beautéqui en implicite releve le cractère « yeux de louve » méthaphore d’une femme de meute, perso initié dans une cage dorée. Ponctuation posale surperposition des idées mais qui fait ressssentir de l’émotion comme si ce qu’on lui disait était dur à dire.

5paragraphe : le regard  extérieur sur cette « créature odieuse », insistance , mais il rassure son personnage avec une méthaphore du cœur qui méle physique et émoions et symboles. Il souhaite la mort de son personnage pour qu’il renaisse mais préfere l’abandonner, sans suite , il ne lui donne lus de chance de se rachter ni d’un meilleur avenir, noyée dans la foule , elle devient une ombre mais l’esperance exprime un désir de suite pour elle , comme si sa condamnation infligée était plus forte que Dieu et donc permette une meilleure vie, sauf qu’elle ne continuera qu’à errer.

1. Chap1

Ignorance de thérèse par son p-ère et l’avocat alors qu’elle les rejoint, symbole de l’ombre , elle doit rejoindre son mari et faire comme avant , pour garantir sa place de sénateur à son père , en évitant de remuer encore la famille, elle ets en proie a des doutes face au retour avec son mair malade, Bernard Desqueyroux, on sent une meprise sur elle, elle doit jouer un jeu, accentué par la ponctuation expressive qui laisse entrevoir une suite plus dramatique qu’heureuse. Style direct dans un discours narratif, augmenté par les descriptionz, comme un &ncrége réaliste à une conscience ailleurs maalgré une foczlisation obligatoire.Jeu de lumière et de physique, envirnnement sombre où les hommes ne sont que prédateurs pour elle, son réconfort étant dans sa fille, et désolation familiale des femmes avec une grand morte et sans souvenirs pour elles , les femmes ne sont qu’ombres ici.

1. Chap 2

Continuité du portait de téhrèse entre beauté et intérieur sordide, où se mèle sensibilté, intelligence mai solitude. Elle evut préparer sa défnse face à son mari, mais l’obscurité est simbole de fin et cette comunication si difficile à préparer n’aura-t-elle peut etre pas lieu ou de cettte manière, mais sa conscience la ramène avce répétitions, à son adolescence avec son amie Annne, où le bonheur était simple mais pas apaparent à ses yeux, où ellle était un modèle de pureté qui s’est brisé avec son mariage, la pureté des noces s’oppose avec l’obscurité environnant qui la protège justement de la continuité de ses noces qui l’ont détruite et qui ont fait surgir en ellezs un véritable feu de olitude qui la consumme, ellle essaie de fixer sa conscience mais qui s’évade accordé au fond sonore du train, on est déjà presque à la fin du trajet. Mauriac offre une vision assez philosphique du cycle de la vie et nottamant du rôle de l’enfance qui pour lui est une fin en elle-meême.

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